En 2006, les ravageurs du sol sur maïs ont encore connu une progression. «De moins en moins de molécules sont disponibles, donc la biodiversité hostile augmente», explique Jean-Paul Renoux, d’Arvalis. Comme pour confirmer ces dires, la Protection des végétaux de Bourgogne évoque le retrait...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres