Publié le vendredi 28 mai 2010 - 13h42
Confrontés à un marché du blé dur fluctuant, Olivier et Jean-Marc Calmet veulent partager les risques. Pour mieux piloter la vente, ils s’appuient sur un seuil de commercialisation.
«En 2007, nous avons commencé à mettre une partie de nos blés durs en dépôt dans notre coopérative. Les prix ont flambé, avant de redescendre en 2008. Prendre des décisions de vente n’était pas évident, explique Olivier Calmet, installé en EARL avec son frère, Jean-Marc, à Fanjeaux, dans l’Aude. Nous avions besoin de mieux comprendre...
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