Publié le vendredi 24 octobre 2014 - 11h23
La question se pose pour un exploitant en individuel, imposé au régime réel. Ce dernier peut opter pour le maintien des terres dans son patrimoine privé.
En principe, les immeubles bâtis ou non bâtis appartenant à l'exploitant et utilisés pour l'exploitation sont obligatoirement inscrits à l'actif professionnel. Il s'agit des terres, plantations, améliorations foncières temporaires (travaux de drainage, etc.) et permanentes (défrichement, arasement des talus...), des bâtiments ou encore des...
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