Publié le vendredi 10 octobre 2008 - 11h07
Ce type de chemin est présumé appartenir aux riverains. Pour les juges, il s’agit d’une indivision forcée et perpétuelle.
Cessera-t-on un jour de parler et de plaider sur les chemins d’exploitation? Le mot «exploitation» ne doit pas lier ces voies à l’agriculture. Les chemins appartiennent aux propriétaires de parcelles bordées par le chemin ou auxquelles il aboutit, peu importe l’utilisation de la terre. C’est ainsi que l’espace des villas qui bordent...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres