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Cette campagne de maïs qui s'est soldée par un très bon rendement moyen (105 q/ha) « n'est pas exceptionnelle dans la mesure où cela se reproduira », soutient Jean-Paul Renoux, responsable national pour le maïs chez Arvalis-Institut du végétal.
Selon J.-P. Renoux, on peut même faire mieux puisque le potentiel maximal de rendement n'est pas encore atteint : « Il reste des freins à la production. »
Il détaille les raisons d'un succès et les facteurs contraignant encore une hausse de rendements en maïs.
Interview : Céline Fricotté. – Image et son : Marine Gramat.
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