Actualités/Evénements
« La réforme de la Pac, en son état actuel, soulève plusieurs problèmes, estime Philippe Pinta, président d’Orama et de l’AGPB. La question du budget, d’abord. Ensuite, il va falloir concilier le discours sur la nécessité de produire plus et les 7 % de jachère. La convergence des aides est aussi trop rapide. Enfin, le plafonnement de la principale culture à 70 % de l’assolement va créer des difficultés chez les producteurs de maïs et de blé dur, mais également en élevage. En 2012, il va s’agir de faire comprendre aux politiques que l’agriculture et l’agroalimentaire constituent de vraies chances pour la France. Qu’il y a un besoin de cohérence entre ce qu’elle professe à l’extérieur – accroître la production – et les restrictions, techniques notamment, qu’elle s’impose à l’intérieur. »
Interview : Isabelle Escoffier – Images et son : Marine Gramat
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