L'UIPP « prend note » de l'étude publiée par l'Inserm montrant que « l’exposition aux pesticides double quasiment le risque de survenue de la maladie de Parkinson parmi les agriculteurs ».
Les industriels de la protection des plantes rappellent que « les produits phytopharmaceutiques ne sont pas anodins et doivent être utilisés dans le cadre du respect des bonnes pratiques phytosanitaires (précautions d'emploi nécessaires, respect des indications figurant sur les étiquettes des produits...) ». Ils regrettent que le critère « respect des bonnes pratiques » ne soit pas pris en compte dans l'étude.
Par ailleurs, « les molécules citées dans cette étude ne sont plus autorisées sur le marché car elles ne répondraient plus aux critères d'exigence actuelle de l'homologation », souligne l'UIPP. Les produits incriminés sont principalement les insecticides, notamment de type organochlorés.
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