« Le compromis présenté [par le président de la République au Sommet de l'élevage] est dans l'ensemble favorable à l'élevage et porteur d'avenir pour l'agriculture française », a réagi la Fédération nationale ovine (FNO) dans un communiqué du 3 octobre 2013.
« Les revendications de la FNO, priorité au couplage et au deuxième pilier, ont été entendues et nous nous en réjouissons. »
« Nous resterons attentifs à la mise en application concrète de cet accord et vigilants à ce qu'aucun système ovin ne soit déstabilisé », conclut la FNO.