Les entreprises semencières françaises ont annoncé le 25 mars la naissance de l'Union française des semenciers (UFS) qui regroupe une centaine d'entreprises. Elle est née «du souhait des semenciers de rassembler leurs forces pour promouvoir ensemble leurs activités de façon efficace et cohérente».
L'UFS développera de «nouvelles synergies en mutualisant les ressources de ses adhérents, créant ainsi une nouvelle force de proposition active à l’échelle française, européenne et mondiale», précise un communiqué.
L'organisation est appelée à suppléer les six précédentes structures déclinées par espèces: Afsa (semences autogames), Seproma (maïs), Oléosem (oléagineux), SPFGB (betteraves), FFSFG (fourragères et gazon) et FNPSP (semences potagères et florales).
Via l'UFS, «les entreprises semencières assureront une prise de parole coordonnée et une expertise collégiale sur les principaux sujets transversaux, les débats de société et les enjeux économiques de la filière tels que la propriété intellectuelle, la recherche et l'innovation technologique, la biodiversité, la qualité, l'environnement et le développement durable.
A côté des missions transversales, l’UFS poursuivra, au travers de six sections par familles d’espèces, les missions spécifiques des six précédentes structures: liens avec les filières, actions spécifiques, promotion de l'image…
Pendant une période de six mois, un conseil d’administration provisoire mettra en place la nouvelle structure administrative et veillera à l’organisation des travaux de l’UFS au sein de trois commissions transversales (propriété intellectuelle, réglementation, production et qualité) et de six sections par familles d’espèces.