Tendances céréales
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Les prix des céréales ont reflué, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2012 valait 215,75 €/t (- 1 €/t), le contrat maïs même échéance 207,25 €/t (- 1,50 €/t).
Les prix des céréales ont reflué, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2012 valait 215,75 €/t (- 1 €/t), le contrat maïs même échéance 207,25 €/t (- 1,50 €/t).
L'effervescence haussière du début de semaine sur les céréales, alimentée par la vague de froid qui soumet l'Europe à des températures polaires, a laissé place, jeudi, à des opérations de ventes et de prises de bénéfices sur le marché à terme européen (Euronext).
Par ailleurs, les marchés semblaient plutôt rassurés par les analystes qui estiment que les risques de dégâts restent encore limités en blé tendre dans la mesure où l'installation du froid se fait progressivement dans une partie de l'Europe.
En revanche, en Europe de l'Est, le froid est plus intense et les dégâts pourraient être plus importants. Si la situation en Russie est moins inquiétante, l'Ukraine semble plus menacée en raison de l'enneigement insuffisant des cultures, rempart naturel contre le gel. De fortes craintes pèsent sur l'orge d'hiver, semée plus tard que le blé.
« Ces mauvaises conditions climatiques pourraient pousser les importateurs à se positionner pour des achats de couverture dans les jours qui viennent », a indiqué un analyste.
La Jordanie a acheté 150.000 t de blé (origine inconnue).
Les Etats-Unis ont vendu légèrement moins de blé et de maïs au cours de la semaine achevée au 26 janvier, a indiqué jeudi l'USDA. Les ventes de blé ont reculé à 554.100 t contre 618.700 t sept jours plus tôt, celles de maïs à 975.000 t contre 1,041 Mt.
A la bourse de Paris, le Cac 40 a fini sur une hausse de 0,27 %. 
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jeudi 02 février 2012 - 19h18
Les prix des céréales ont poursuivi leur hausse, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 216,75 €/t (+ 1,25 €/t), le contrat maïs même échéance 208,75 €/t (1 €/t). Ils avaient culminé à 221,50 €/t et 213 €/t respectivement en séance.
Les prix des céréales ont poursuivi leur hausse, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 216,75 €/t (+ 1,25 €/t), le contrat maïs même échéance 208,75 €/t (1 €/t). Après avoir culminé à 221,50 €/t et 213 €/t respectivement en séance.
Les cours des céréales ont continué à être portés par le coup de froid sur l'Europe, qui menace notamment les cultures de blé des pays de l'Est.
La vague de froid sibérien qui progresse vers l'ouest de l'Europe pourrait générer des pertes sur les cultures d'hiver. « En Ukraine, la zone sud-est a probablement plus souffert que les autres zones en raison d'un couvert neigeux trop faible, soufflé par le vent. La menace de pertes hivernales touche également l'Allemagne et la Pologne », expliquent les analystes d'Offre et demande agricole.
Les rumeurs de mise en place de taxes à l'export par la Russie pour limiter les exportations soutiennent également les cours.
Par ailleurs, alors que le marché semblait rassuré par les pluies en Amérique du sud, après des semaines de sécheresse dues à La Nina, des prévisions de récoltes plus mauvaises qu'anticipé pèsent sur le marché. Le consensus des analystes en Argentine fait état de chiffres de production revus en baisse pour le maïs, à 18,8 Mt. ...
mercredi 01 février 2012 - 19h20
Les prix des céréales ont nettement progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 215 €/t (+ 6 €/t), le contrat maïs même échéance 207,75 €/t (+ 3,50 €/t).
Les prix des céréales ont nettement progressé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 215 €/t (+ 6 €/t), le contrat maïs même échéance 207,75 €/t (+ 3,50 €/t).
« Les températures vont descendre en-dessous des -10°C en France par endroit. Certaines cultures sont déjà très développées et le gel pourrait porter un coup d'arrêt », indique Offre et demande agricole (ODA) dans une note.
Les températures très basses sont également préoccupantes en Europe de l'Est (Ukraine, Russie) en raison d'un enneigement insuffisant, alors que la neige constitue un rempart naturel contre le froid.
Autre facteur haussier, la possible instauration de taxes à l'exportation en Russie à partir d'avril 2012, qui serait actuellement discutée par le gouvernement russe, rapporte Agritel.
Les prix du fret ont accentué leur chute la semaine dernière, s'enfonçant à leur plus bas niveau depuis 2008, plombés par le manque d'activité en Asie pendant les congés du Nouvel an lunaire, la surcapacité chronique de la flotte mondiale et la hausse des prix du carburant.
L'indice composite Baltic Dry Index (BDI), moyenne des prix pratiqués sur 24 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a terminé vendredi à 726 points, son plus bas niveau depuis décembre 2008, contre 862 points le vendredi précédent. Le BDI s'est ainsi effondré de plus de 50 % sur les trois premières semaines de l'année.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui comporte sept routes (la plupart pour les céréales) empruntées par les navires adaptés aux dimensions du canal de Panama, a quant à lui fini vendredi à 815 points, un niveau inédit depuis janvier 2009, contre 1.020 points une semaine plus tôt, soit un nouveau recul hebdomadaire de 20 %.
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mardi 31 janvier 2012 - 18h45
Les prix des céréales ont été reconduits, lundi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209 €/t, le contrat maïs même échéance 204,25 €/t.
Les prix des céréales ont été reconduits, lundi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209 €/t, le contrat maïs même échéance 204,25 €/t.
« Avec les températures très basses attendues dans l'est de la France, nous nous attendons à ce que les marchés réagissent très rapidement et donc à ce que les prix montent », a expliqué un courtier.
Les risques de gel suscitent la crainte des agriculteurs, d'autant que les conditions climatiques très clémentes de l'automne et du début de l'hiver ont accéléré prématurément le développement végétatif des cultures d'hiver.
La vague de froid en Ukraine et en Russie se confirme, avec une intensification en fin de semaine, ce qui rend les cultures très vulnérables en raison d'un enneigement insuffisant.
Sur la scène internationale, on peut noter l'achat par la Tunisie de 50.000 t d'orge fourragère. Le Mexique, frappé comme le Brésil et l'Argentine par une vague de sécheresse, a de son côté acheté quelque 170.000 t de maïs américain.
Au cours de la semaine écoulée, le contrat blé mars 2012 s'est apprécié de 5,3 % sur Euronext (+ 6 % à Chicago), le contrat maïs même échéance de 2,1 % (+ 4,9 % à Chicago).
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lundi 30 janvier 2012 - 19h15
Les prix des céréales se sont effrités, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209 €/t (- 0,25 €/t), le contrat maïs même origine 204,25 €/t (- 1 €/t).
Les prix des céréales se sont effrités, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209 €/t (- 0,25 €/t), le contrat maïs même origine 204,25 €/t (- 1 €/t).
Les prix du blé et du maïs ont fléchi, sur un marché à terme européen (Euronext) ayant progressivement intégré, durant la semaine, les risques climatiques (en Amérique du sud et en Ukraine) et l'éventuelle mise en place de restrictions à l'export en Russie.
Les exportations hebdomadaires des Etats-Unis en blé (618.700 t) et maïs (1,04 million de tonnes) ont progressé la semaine dernière, dépassant les attentes des analystes. Ces chiffres contrastent avec le faible niveau des certificats hebdomadaires accordés par Bruxelles en blé (218.000 t).
La Jordanie et la Tunisie ont lancé des appels d'offres pour l'achat de 50.000 t et 100.000 t d'orge respectivement.
Le Cac 40 a fini la séance sur un repli de 1,32 %. ...
vendredi 27 janvier 2012 - 19h04
Les prix des céréales ont enchaîné une 4e séance de hausse, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209,25 €/t (+ 1,25 €/t), le contrat maïs même échéance 205,25 €/t (+ 1,75 €/t).
Les prix des céréales ont enchaîné une 4e séance de hausse, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 209,25 €/t (+ 1,25 €/t), le contrat maïs même échéance 205,25 €/t (+ 1,75 €/t).
Le marché à terme européen des céréales est resté ferme, jeudi, dans le sillage de la bourse de Chicago. Et ce, malgré la cherté de l'euro (la monnaie commune a approché 1,32 dollar en milieu de journée) qui pénalise les exportations de l'UE. Et alors que la chute actuelle des coûts du fret maritime pourrait redonner de la compétitivité aux exportations américaines.
Les conditions climatiques en Argentine et en Europe de l'Est restent au cœur des préoccupations des opérateurs. Les pluies se sont révélées insuffisantes pour être efficaces sur les zones de production du maïs au Brésil et en Argentine et les pertes de rendements sont désormais considérées comme irréversibles.
Sur le pourtour de la mer Noire, des températures attendues jusqu'à - 20° C constituent une menace pour certaines zones de cultures où le manteau neigeux n'est pas suffisamment épais pour les protéger du gel.
Autre élément de soutien du marché, le ralentissement attendu des exportations russes dans la deuxième partie de la campagne commerciale. De fait, près de 20 Mt ont déjà été exportées, sur un potentiel exportable de 24 Mt.
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jeudi 26 janvier 2012 - 19h02
Le prix du blé a poursuivi son rebond, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2012 valait 207,75 €/t (+ 2 €/t), le contrat maïs même échéance 202,50 €/t (- 0,25 €/t).
Le prix du blé a poursuivi son rebond, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2012 valait 207,75 €/t (+ 2 €/t), le contrat maïs même échéance 202,50 €/t (- 0,25 €/t).
La séance a été animée par les rumeurs de taxes à l'export sur le maïs argentin et le blé russe. Si les premières ont été officiellement démenties, les secondes sont prises au sérieux par les marchés, a considéré le cabinet de conseil Offre et Demande Agricole (ODA).
« Le seuil de 24 Mt de céréales russes exportées risque d'être dépassé très rapidement et le retour de taxes à l'exportation n'est pas impossible avant la fin de la campagne commerciale en juin 2012 », a estimé un analyste d'ODA. Dans ce contexte, les opérateurs spéculeraient sur un retour à la compétition des origines américaines sur la deuxième partie de la campagne commerciale.
La nervosité ambiante des marchés agricoles est également alimentée par des projections baissières de production de maïs en Argentine communiquées par la FAO. Selon elle, les mauvaises conditions climatiques vont entraîner une production en recul par rapport à l'année dernière, avec 21,4 Mt. Ce chiffre resterait cependant supérieur de 4 % à la moyenne des cinq dernières années.
En Ukraine, où la baisse des températures devrait s'accentuer brutalement, de fortes inquiétudes pèsent sur les cultures de blé d'hiver en raison d'un niveau d'enneigement insuffisant pour les protéger des gels tardifs.
Sur le marché physique, le blé et l'orge progressaient de 2 euros à Rouen (203 €/t et 202 €/t), tout comme le maïs sur le Rhin pour des livraisons de janvier à mars 2012.
Vers 18H00 à Paris, l'euro s'effritait légèrement, valant 1,2975 $ contre 1,3030 $ mardi soir. ...
mercredi 25 janvier 2012 - 18h43
Les prix des céréales ont poursuivi leur rebond, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 205,50 €/t (+ 4 €/t), le contrat maïs même échéance 202,75 €/t (+ 1,25 €/t).
Les prix des céréales ont poursuivi leur rebond, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2012 valait 205,50 €/t (+ 4 €/t), le contrat maïs même échéance 202,75 €/t (+ 1,25 €/t).
« Le Weather Market et la sécheresse en Amérique latine restent la dominante des marchés agricoles », observe la société de courtage Plantureux SAS.
Mardi, les marchés restaient focalisés sur la situation en Argentine et au Brésil. Malgré les pluies des jours passés sur les grandes zones de production de maïs, des dégâts irréversibles sont maintenant confirmés en Argentine principalement, avec une production qui pourrait s'établir dans une fourchette de 20 à 23 Mt selon Agritel, alors que l'USDA tablait encore sur 26 Mt le 12 janvier dernier.
En Europe, l'état des cultures d'hiver reste globalement satisfaisant, mais des gelées tardives ne sont pas à exclure, alors que le développement végétatif a pris de l'avance sur le calendrier en raison de la douceur de l'hiver.
Les prix des frets secs ont accéléré leur dégringolade la semaine dernière, s'enfonçant à des niveaux plus vus depuis trois ans. L'indice composite Baltic Dry Index (BDI), moyenne des prix pratiqués sur 24 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a terminé vendredi à 862 points, son plus bas niveau depuis janvier 2009, contre 1.053 points le vendredi précédent.
Il aura donc perdu 18 % en une semaine, après avoir déjà chuté de 20 % la semaine précédente. Le Baltic Panamax Index (BPI), qui comporte sept routes (la plupart pour les céréales) empruntées par les navires adaptés aux dimensions du canal de Panama, a fini vendredi à 1.020 points, un niveau inédit depuis février 2009, contre 1.264 points une semaine plus tôt.
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mardi 24 janvier 2012 - 18h52
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