Tendances céréales
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Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2013 valait 245 €/t (- 0,75 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 225,25 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mai 2013 valait 245 €/t (- 0,75 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 225,25 €/t (- 0,25 €/t).
« Le marché reprend son souffle après les hausses des jours derniers et procède à des prises de bénéfices avant la publication du rapport américain », a expliqué Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux.
Outre-Atlantique, les prix des céréales restaient fermes à la Bourse de Chicago en séance électronique continue, le marché s'inquiétant de l'impact d'une nouvelle vague de froid prévue dans le centre des Etats-Unis cette semaine sur les cultures de blé d'hiver et sur les semis de soja et de maïs.
Selon le relevé hebdomadaire du département américain de l'Agriculture (USDA) sur l'état des cultures, le blé d'hiver est « bon à excellent » à 36 % dans les 18 principaux Etats où cette céréales est plantée, contre 34 % la semaine passée et 71% l'an dernier à la même époque.
En Europe, la remontée des températures et les précipitations actuelles devraient venir soulager les cultures de céréales soumises à des températures froides ces derniers jours où l'on constate « un net retard végétatif », selon Agritel. 
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mardi 09 avril 2013 - 19h27
Le prix du blé a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2013 valait 245,75 €/t (+ 2 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 225,50 €/t (+ 1,25 €/t).
Le prix du blé a progressé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mai 2013 valait 245,75 €/t (+ 2 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 225,50 €/t (+ 1,25 €/t).
« Les opérateurs font leurs affaires sur le marché à terme, faute de disponibilité sur le marché physique », commente Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux. Par ailleurs, des conditions climatiques trop froides pour la saison, notamment dans le bassin de la Loire, perturbent le tallage du blé, ce qui risque à terme de diminuer le nombre d'épis, ajoute-t-il.
Selon FranceAgriMer, les blés d'hiver sont estimés « bons à excellents » à 66 % - un chiffre jugé « bien optimiste » par Agritel. Selon le cabinet conseil, « les conditions climatiques hivernales impactent les cycles végétatifs des cultures, et, à moins que celles-ci deviennent idéales d'ici à la prochaine récolte, (..) le rendement récolte 2013 (s'annonce) inférieur de 4 % de celui de la moyenne de ces 5 dernières années, soit 6,98 t/ha. Ces premières estimations conduisent à évaluer le potentiel de la production nationale à 34,8 millions de tonnes, soit 1 million de moins qu'en 2012. »
Par ailleurs, « la poursuite de l'activité à l'export (468.000 t de certificats octroyés par Bruxelles la semaine dernière) conduit à anticiper une soudure de campagne des plus tendues », ajoute Agritel dans sa note hebdomadaire de ce lundi 8 avril.
Selon les producteurs de maïs (AGPM), « le début des semis marque un certain retard comparativement aux campagnes précédentes. Si la météo le permet, les semis pourraient débuter cette fin de semaine (et début de semaine prochaine) sur l'Alsace et sur le nord de la France », écrit l'AGPM dans sa lettre économique du lundi 8 avril.
Sur la scène internationale, La Chine a acheté 14 à 16 cargos de blé d'origine américaine, soit l'équivalent de 1 million de tonnes. « La Chine, structurellement déficitaire au niveau de sa production intérieure, est confrontée à des dégâts du gel », ce qui la pousse à venir très en amont aux achats sur la scène internationale, commente Edward de Saint-Denis (Plantureux).
Les prix des transports maritimes de matières sèches se sont repliés la semaine dernière, pour la deuxième semaine consécutive. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a terminé, vendredi 5 avril, à 861 points, au plus bas depuis un mois, contre 910 points le jeudi 28 mars qui précédait le week-end pascal.
Le Baltic Panamax Index - qui synthétise les tarifs pour sept routes, la plupart pour les céréales -, a terminé la semaine à 1.094 points, au plus bas depuis le début mars, contre 1.176 points huit jours plus tôt. « Le marché des Panamax a eu du mal à redémarrer après le week-end de Pâques » et les prix ont continué leur glissade à l'approche des jours fériés en Chine (jeudi et vendredi à l'occasion de la Fête des morts), expliquent les experts de l'agent maritime Fearnleys. Les perspectives à court terme restent « mitigées » même si « certains propriétaires s'attendent à une nouvelle vague de demande de transport de grains très bientôt » en Amérique du sud, au sortir de la période la plus active des récoltes de céréales.
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lundi 08 avril 2013 - 19h17
A la clôture vendredi sur Euronext, les cours du blé étaient en légère baisse de 0,50 €/t à 243,75 €/t échéance mai 2013.
A la clôture vendredi sur Euronext, les cours du blé étaient en légère baisse de 0,50 €/t à 243,75 €/t échéance mai 2013. Sur la semaine, le marché européen du blé tendre résiste bien (mieux que son homologue Nord-américain) et remonte la pente après la baisse du jeudi 28 mars (- 8 €/t).
Le rapport hebdomadaire de l’USDA, fait état d’écoulements de blé aux Etats-Unis inférieurs aux attentes du marché. Du 22 au 28 mars, les ventes pour la campagne 2012-13 sont en baisse de 76 % par rapport à la semaine précédente.
En France, par contre, la fin de campagne se rapproche et le manque de marchandise commence à se faire sentir notamment à Rouen selon un coutier, d’autant plus que les certificats octroyés par Bruxelles se poursuivent à un rythme soutenu.
Concernant l’état des cultures, les blés ont en moyenne 15 jours de retard et le froid persistant pourrait avoir des conséquences irréversibles sur les rendements. ...
vendredi 05 avril 2013 - 19h10
A la clôture jeudi sur Euronext, les cours du blé étaient en hausse de 3,75 €/t à 244,25 €/t échéance mai 2013. Les échéances plus éloignées progressaient également mais dans de moindres proportions.
A la clôture jeudi sur Euronext, les cours du blé étaient en hausse de 3,75 €/t à 244,25 €/t échéance mai 2013. Les échéances plus éloignées progressaient également mais dans de moindres proportions.
Le blé repart à la hausse aidé par des conditions météorologiques toujours froides sur la plusieurs grandes zones de production de blé de l'hémisphère nord.
Concernant le maïs, le rééquilibrage après les fortes baisses des jours précédents est moins net. Les dernières estimations de production en hausse au brésil (+ 0,35 Mt) et en Argentine (+ 0,30 Mt) ne sont pas de nature à accompagner un redressement rapide du maïs.
Les opérateurs restent toutefois inquiets sur l'état végétatif des blés sur une partie de l'Europe et des Etats-Unis.
Aux Etats-Unis les semis de maïs sont retardés par le froid et la neige parfois. En Europe et sur la région mer Noire les céréales de printemps (blé, orge) sont souvent semées au-delà des périodes optimales avec des incidences probables en terme de rendements.
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jeudi 04 avril 2013 - 19h54
A la clôture sur Euronext mercredi, les cours du blé étaient en hausse de 3,75 €/t à 240,50, €/t échéance mai 2013. Les échéances plus éloignées progressaient également sur un niveau comparable, voire supérieur.
A la clôture sur Euronext mercredi, les cours du blé étaient en hausse de 3,75 €/t à 240,50, €/t échéance mai 2013. Les échéances plus éloignées progressaient également sur un niveau comparable, voire supérieur.
Un rééquilibrage semble s'opérer, après les fortes baisses des deux derniers jours. Le marché semble se méfier des chiffres estimatifs avancés par le département américain à l'agriculture sur l'état des stocks. Les fondamentaux reprennent le dessus face aux craintes sur l'état des blés aux Etats-Unis et sur l'Europe du Nord-Ouest.
Le retard végétatif est important sur certaines zones de production et les rendements sont déjà compromis. Si les stocks américains de blé sont confortables (six mois de consommation), la situation est bien différente en Europe avec des stocks correspondant à moins d'un mois de consommation d'où une décote de plus de 45 $/t entre les deux origines.
Le contexte français reste tendu avec des chargements qui se poursuivent sur un rythme correct. Les utilisateurs ont semble-t-il toujours des besoins à couvrir sur les trois derniers mois de la campagne.
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mercredi 03 avril 2013 - 19h09
Mardi à la clôture, les cours du blé étaient en baisse de 2 €/t à 236,75 €/t échéance mai 2013.
Mardi à la clôture, les cours du blé étaient en baisse de 2 €/t à 236,75 €/t échéance mai 2013.
Le cours des céréales européennes suit la forte baisse des cours américains depuis jeudi 28 mars, date de publication du rapport de l'USDA sur l'état des stocks aux Etats-Unis. Ce rapport a surpris les opérateurs. L'USDA annonce ainsi quasiment 10 Mt de plus de stocks en maïs.
S'agissant des intentions de semis pour la campagne 2013-14, elles sont conformes aux attentes avec des surfaces proches de celles de l'an passé en maïs. Les basses températures qui persistent sur le nord de l'Europe continuent d'accentuer les retards végétatifs sur des blés déjà perturbés par un excès d'humidité automnale et hivernale.
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mardi 02 avril 2013 - 19h13
En raison des fêtes pascales, le marché à terme est resté fermé, vendredi. Le prix des céréales a plongé, jeudi sur Euronext, dans le sillage de Chicago. A la clôture, le contrat mai 2013 valait 238,75 €/t (- 8 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 227,75 €/t (- 5,50 €/t).
En raison des fêtes pascales, le marché à terme est resté fermé, vendredi. Le prix des céréales a plongé, jeudi sur Euronext, dans le sillage de Chicago. A la clôture, le contrat mai 2013 valait 238,75 €/t (- 8 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 227,75 €/t (- 5,50 €/t).
Les cours du maïs et du blé à Chicago ont terminé, jeudi, une semaine écourtée en nette baisse, après la sortie de chiffres officiels faisant état d'une baisse des stocks agricoles inférieure aux attentes des analystes.
Bien qu'elles aient fortement diminué par rapport à l'an dernier, les réserves de maïs « sont bien plus importantes que prévu » et les réserves de blé, qui ont, quant à elles, augmenté, sont « également supérieures aux attentes », a noté Bill Nelson, de Doane Advisory Services. Ainsi, si les stocks de maïs ont reculé de 10 % par rapport à mars 2012, ressortant à 5,40 milliards de boisseaux, « le marché anticipait un chiffre bien inférieur de 5 milliards de boisseaux seulement », a noté M. Nelson.
Les stocks américains de blé se sont en revanche étoffés de 3 %, ressortant à 1,23 milliard de boisseaux, « arrivant là aussi au-delà des attentes qui étaient de 1,16 milliard de boisseaux », a noté M. Nelson.
« Les marchés s'attendaient à des surprises mais il apparaît que la demande est bien plus faible que prévu », a analysé Jason Roose, de US Commodities. En effet, « les marchés du maïs sont trop achetés en raison de craintes » liées à la sécheresse historique qu'ont connue les Etats-Unis au cours de l'été 2012, a-t-il ajouté. Mais, par ricochet, le marché « craignant une baisse de l'offre, les prix du maïs sont montés en flèche (..), ce qui a provoqué un ralentissement de la demande » car les acheteurs reculent devant de telles hausses de prix, a poursuivi M. Roose. « Au cours des derniers mois, la demande en maïs pour nourrir le bétail a reculé de 30 % », a-t-il précisé. « On observe un phénomène de rationnement de la demande » qui n'avait pas été anticipé par le marché.
Du côté des intentions de semis aux Etats-Unis, les chiffres s'avèrent relativement conformes aux attentes pour le maïs et le blé, a relevé M. Nelson.
Dans ce contexte, « les autres événements de la semaine, comme la météo et la persistance de la neige et du froid dans les régions productrices de blé aux Etats-Unis, susceptibles de ralentir la plantation du blé de printemps, n'ont que peu pesé », a estimé M. Nelson.
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vendredi 29 mars 2013 - 18h46
Le prix des céréales a plongé, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat mai 2013 valait 238,75 €/t (- 8 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 227,75 €/t (- 5,50 €/t).
Le prix des céréales a plongé, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat mai 2013 valait 238,75 €/t (- 8 €/t), le maïs juin 2013 se négociant 227,75 €/t (- 5,50 €/t).
La journée a été marquée par la publication de statistiques américaines sur les surfaces et les stocks.
Le département américain de l'Agriculture (USDA) a annoncé des intentions de semis de maïs quasi-historiques cette année, à 97,3 millions d'acres. C'est légèrement plus qu'en 2012 et supérieur de 6 % à 2011. Il faut revenir à 1936 pour retrouver de tels niveaux de surfaces (102 millions d'acres).
Les stocks de maïs aux Etats-Unis accusent une baisse de 10 % au 1er mars 2013 par rapport à leur niveau de mars 2012. Ils dépassent légèrement 137 millions de tonnes (Mt), contre 153 Mt en 2012. La situation apparaît meilleure pour le blé, dont les stocks sont en hausse de 3 % à 33,5 Mt (contre 32,6 Mt en 2012).
Les analystes s'attendaient à cet étiage particulièrement bas après la pire sécheresse qu'ait éprouvée l'Amérique du nord en 2012, qui a dévasté la production de maïs (en février 2012, l'USDA tablait sur une production de 376 Mt, alors qu'elle n'a finalement atteint que 274 Mt).
Le froid persistant sur l'Europe de l'Ouest (surtout l'Angleterre) retarde l'état végétatif des cultures de blé ou d'orge, mais il est encore tôt pour envisager des pertes de rendements, estime-t-on chez FranceAgriMer.
Sur la scène internationale, le blé a été porté par de nouveaux échanges : Agritel note l'achat de blé australien par l'Irak (350.000 tonnes) et par la Corée du Sud (38.400 t) tandis que Bruxelles a délivré, mercredi, des certificats autorisant l'exportation de 426.000 tonnes, soit un total de 15,1 millions de tonnes depuis le début de la campagne.
Les marchés à terme européen et américain seront fermés vendredi et lundi, en raison du week-end pascal.
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jeudi 28 mars 2013 - 18h46
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