«Le calcul de la fertilisation azotée des prairies repose sur une adaptation de la méthode des bilans, bien connue des céréaliers, explique Alain Besnard, ingénieur à la station expérimentale de la Jaillière (Arvalis). Elle vaut pour les graminées pures et les associations contenant moins...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres