Publié le vendredi 27 mars 2009 - 10h38
La possession de terres, en vertu d’un acte notarié, ne suffit pas pour invoquer la prescription acquisitive de dix ans.
Sur la feuille cadastrale, les parcelles, propriété d’Odile, ne sont pas d’un seul tenant. Même dispersées, elles représentent une trentaine d’hectares. Dans son testament olographe (1), elle les lèguent en nue-propriété aux époux François, en laissant l’usufruit à son mari qui lui survit. A son tour, ce dernier lègue les parcelles...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres