Publié le vendredi 24 août 2007 - 16h35
Pour contester l’intervention de la Safer, le vendeur a invoqué la nullité du décret conférant son droit de préemption. Son argumentation a été retenue par le Conseil d’Etat.
Il a fallu la loi du 8 août 1962 pour accorder aux Safer un droit de préemption sur les ventes de biens ruraux entre particuliers. Mais cette loi ne sort à effet qu’autant que des textes réglementaires, c’est-à-dire des décrets et des arrêtés, en organisent et en encadrent le fonctionnement. Un droit pour cinq ans Un décret ministériel...
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