Publié le vendredi 13 février 2015 - 15h19
La plantation d'une nouvelle espèce permet de partager les risques climatiques, sanitaires et commerciaux. Exemple avec l'abricot.
Pour bien maîtriser les coûts, la majorité des arboriculteurs se sont spécialisés durant ces trente dernières années. Avec des marges qui se réduisent, il devient plus difficile de faire face aux aléas. L'introduction d'une deuxième espèce fruitière permet de partager les risques et d'obtenir des résultats plus réguliers, à condition...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres