La deuxième vague du plan d’actionnariat que prévoyait de lancer Saint-Louis sucre en 2007 a été suspendue à cause du «manque de visibilité dans le contexte betteravier actuel».
Ce plan permettait notamment aux planteurs actionnaires d’avoir des contrats industriels longue durée. Mais «il était conçu pour vivre avec une réforme du sucre version 2006. Or cette réforme est un échec et il y a toujours une surproduction de sucre en Europe», explique Pierre Minart, président des planteurs actionnaires.
Aucun calendrier pour la suite n’a été évoqué par le groupe sucrier qui attend les ajustements de la réforme que devrait bientôt annoncer Bruxelles.