D’après des tests in vitro dans le cadre d’une étude menée par Arvalis et le Critt Bio-industries de Toulouse, les mycotoxines présentes sur le blé destiné aux biocarburants n’auraient pas d’impact sur le rendement en éthanol lors de la transformation industrielle.
Selon Arvalis, il n’y aurait notamment pas d’effet de teneurs moyennes à fortes en Don sur la fermentescibilité.
Ces résultats infirment l’idée largement répandue que ces substances seraient pénalisantes au cours du process, mais nécessitent désormais une confirmation en grandeur réelle.
Cela ne règle pas le problème des drêches, qui peuvent concentrer jusqu’à quatre fois les teneurs observées dans la céréale avant transformation.