Le Centre d'études et de prospective (CEP) du ministère de l'Agriculture vient de mettre en ligne une série de documents sur l'agriculture face au changement climatique.
Les travaux de recherche mettent en évidence les potentiels d'atténuation des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le secteur agricole. L'une des parties s'interroge sur les actions « à coût négatif », c'est-à-dire celles qui permettent à la fois une réduction des émissions et un gain financier pour l'agriculteur.
Pourquoi ces actions ne sont-elles pas spontanément mises en œuvre ? « En partie à cause des coûts de transaction privés associés à ces actions », répondent et détaillent les experts.
A télécharger :
- Émissions de gaz à effet de serre d'origine agricole : coûts et potentiels d'atténuation, instruments de régulation et efficacité
- Coûts de transaction privés et adoption de mesures d'atténuation des émissions de gaz à effet de serre
- Protocole de Kyoto et marché carbone européen
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mercredi 02 juillet 2014 - 12h33
Parce que vous pensez sérieusement qu'avant, il n'y avait pas de sécheresses, d'inondations? Les aléas climatiques ont toujours existé. Leur fréquence n'a pas augmenté contrairement à ce que proclament les marchands de peurs. La différence est le traitement médiatique: le moindre incident météo à l'autre bout du monde est relayé par les médias ce qui influe sur notre perception. Vilon écrivait déjà au XVé siècle, "mais où sont les neiges d'antan?"