Le ministère de l'Ecologie a mis en consultation un projet d'arrêté visant à mieux encadrer la pratique de la vénerie sous terre, également appelée déterrage.
Ces pratiques visent à réguler les populations de blaireaux et de renards « pouvant présenter un risque sanitaire pour le bétail », explique le ministère de l'Ecologie, ajoutant qu'il s'agit d'une « forme traditionnelle de chasse ». Pourtant, elle « donne lieu à des pratiques peu acceptables », remarque le ministère, qui souhaite donc modifier le précédent texte datant de 1982. L'association pour la protection des animaux sauvages souhaite, quant à elle, l'interdiction pure et simple de « cette pratique barbare ».
Le texte mis en consultation précise quels moyens seront autorisés pour le déterrage et la mise à mort de l'animal et prévoit d'interdire toute opération de déterrage en cas de présence d'animaux protégés.
En France, la vénerie sous terre regroupe environ 1.500 équipages, 40.000 pratiquants et plus de 70.000 chiens de terrier. Le nouveau texte interdirait les compétitions de vénerie pour les remplacer par des journées de formation et d'entraînement des chiens. Le préfet pourra par ailleurs retirer l'agrément de l'équipage en cas de manquement grave à la réglementation en vigueur.
c'est toujours le même refrain !
jeudi 30 janvier 2014 - 00h57
il faut toujours reculer face aux nuisibles , la politique est de protèger tout ce qui pose problème ,et qui supporte les actions des ècolos , c'est toujours les éleveurs qui doivent encaisser et la fermer ,il va devenir impossible d'èlever des animaux en plein air a cause de ces conneries , c'est pareil dans la société ou les voyous vont avoir plus de droits que les honnêtes gens , BRAVO !!!!!!!!!!!!