«L'épizootie d'artérite virale équine (AVE) qui a sévi l'été dernier dans les cinq départements normands a mis différentes lacunes en évidence»: tel est le constat dressé vendredi par les intervenants à l'assemblée générale de la Fédération nationale du cheval (FNC).
Pour être plus réactive et efficace dans la diffusion de l'information, la profession envisage la mise en place d'un réseau qui impliquerait vétérinaires, détenteurs de chevaux et laboratoires. Les éleveurs ne sont pas à l'abri d'une réapparition du virus et la représentante du ministère de l'Agriculture a confirmé que l'AVE restera une maladie à déclaration obligatoire (MDO). Cela sous-entend qu'il appartient à la filière de régler le problème sans implication de l'Etat.