Dans un communiqué de presse daté du 20 juin, la Confédération française de l'aviculture (CFA) rattache les wagons des productions avicoles et cunicoles à ceux des éleveurs bovins, porcins et laitiers. « Si la situation des filières avicoles est bien moins dramatique, les prix à la production des éleveurs de volailles, d'œufs, de lapins et de palmipèdes gras sont insuffisants pour assurer le nécessaire renouvellement des investissements », regrette le syndicat.
La CFA rebondit sur les résultats d'une enquête réalisée par les chambres d'agriculture de l'Ouest assurant qu'un récent investisseur ne dégage pas de revenu qui lui permette de vivre correctement de son métier. Ces chiffres « démontrent qu'il est toujours difficile de s'installer en aviculture surtout avec un bâtiment neuf. »
Le syndicat appelle l'aval et la grande distribution à rouvrir les négociations commerciales dans l'ensemble des productions avicoles. « Ce besoin de revalorisation est clairement démontré en production de volailles de chair par l'indicateur officiel publié par le ministère de l'Agriculture », martèle la CFA.
et les grandes cultures?
mardi 21 juillet 2015 - 17h56
ce sont toutes les productions qui sont sous payées. le chiffre d'affaires d'une exploitation c erealière, indemnites pac incluses, est inferieur à celui de 1980 !! tant pis pour le panier de la ménagère, il faut TOUT revaloriser !!, ou revenir au niveau de charges de 1980 !! msa, taxe fonciere, loyer, gnr, salaires du personnel, etc!!!