Réussir à différencier leurs productions sur le marché français, alors que les importations assurent l’essentiel des ventes, est la principale difficulté à laquelle sont confrontés les producteurs français de légumes secs.
Les membres de la toute jeune Union française des producteurs de légumes secs ont pour cela décidé lors de leur assemblée générale qui s’est déroulée mardi, à Laon (Aisne), d’étudier sur le plan juridique, la possibilité de se doter d’une marque commune, de type «Légumes secs de France».
Ils comptent s’appuyer dans leur démarche sur l’expérience des marques «Tomates de France» ou «Concombres de France» qui ont été créées il y a déjà quelques années, par les producteurs et qui fonctionnent bien.