Les propositions des distributeurs et des pouvoirs publics suggérant une possible revalorisation du prix du lait pour trois mois jusqu'en juin 2013 constituent « un écran de fumée », a jugé lundi la Fédération nationale de l'industrie laitière (Fnil).
« La problématique ne s'arrêtera pas en juin », prévient-elle dans un communiqué, en rappelant les conséquences de la crise actuelle : « Des marges nettes moyennes très faibles, de l'ordre de 1 %, près de 1.000 postes supprimés [et] des plans sociaux en cours. »
Les industriels dénoncent les propositions de la grande distribution qui n'entend, selon les cas, n'approuver de hausse que sur le lait de consommation, et celles du médiateur nommé par le ministère de l'Agriculture qui suggère une hausse d'au moins 25 euros par 1.000 litres sur avril, mai et juin.
Il ne peut, selon la Fnil, « s'agir ni de trois jours ni de trois mois, mais de l'année 2013 au moins » et de tout le lait, « quelle que soit sa destination : fromage, yaourt, lait de consommation, beurre ».
NOS PAYSANS SERAIENT-ILS DES ENFANTS DE COEUR ???
mardi 23 avril 2013 - 09h22
Nos producteurs de lait seraient-ils à ce point à la merci de pierre,paul et jacques pour définir communément le prix de vente de leurs produits.... A croire que depuis des décennies notre paysannerie est scotchée à l' ETAT et aux dites instances d'autorités. Seraient-ils incapables à ce point de fixer un prix équitable sans passer par les blablas politiques ??? Je ne vois pas ce que vient faire la gauche ou la droite dans cette notion purement économique et de gestion d'exploitation... Sortons tous ces discoureurs inutiles du circuit hormis d'amuser la galerie depuis des décennies... A quoi servent alors toutes ces structures pour finir par constater que le probléme " CE N'EST QUE DE L AFAUTE A L AUTRE"....