Selon la lettre de l’Unip du 7 mars, après un mois de février relativement doux et plus ou moins arrosé selon les régions (temps sec au sud, pluies abondantes dans l’ouest et le nord), les protéagineux d’hiver présentent près d’un mois d’avance.
En semis de printemps, entre le 15 et le 20-25 février, quelques parcelles de féverole ont été implantées dans le nord et d’autres en pois dans le Centre et l’Ile-de-France. En Picardie et dans le Centre, les passages pluvieux prévus ces prochains jours ne permettront pas de semer du pois ou de la féverole de printemps avant le milieu de la semaine prochaine.
Rien d’alarmant dans ces régions puisque la plage de semis préconisée s’étend jusqu’à fin mars-début avril. La situation est un plus préoccupante dans l’ouest où l’on signale des parcelles engorgées, alors que la limite de la plage optimale pour les semis se situe vers le 15 mars.