Dans un communiqué du 22 juillet 2013, l'Association des maires ruraux de France (AMRF) dénonce une corrélation entre la taille des communes et le taux d'impulsion pour appliquer les nouveaux rythmes scolaires.
40 % des élèves habitant en villes seront concernés dès 2013, et seulement 11 % au sein des communes rurales.
Cet écart reflète les différences de moyens financiers et matériels – et donc d'obstacles – auxquels sont confrontées les communes selon qu'elles soient urbaines ou rurales.
Les maires ruraux de France demandent trois modifications : donner la priorité aux écoles publiques pour les subventions ; généraliser l'assouplissement des taux d'encadrement des temps périscolaires et enfin, octroyer un délai supplémentaire aux communes qui en feraient la demande.