Dans une dépêche parue le 14 avril, l'Agence France Presse (AFP) confirme une information parue le jour même dans Le Parisien, à savoir que le parquet de Paris a requis le 19 novembre 2013 un non-lieu général dans l'enquête ouverte en 1997 à la suite de la crise de l'ESB (encéphalopathie spongiforme bovine). « Il revient aux juges d'instruction du pôle de santé publique de Paris de suivre ou non les réquisitions du parquet de Paris », précise l'AFP.
« Ouverte en 1997 après une série de plaintes, l'enquête portait sur l'importation de bovins et de farines animales britanniques depuis 1989, et leurs conséquences sur la propagation de l'ESB en France. L'enquête est désormais close. [...] Il n'a d'une part pas été démontré que les produits vendus [...] contenaient des protéines animales. D'autre part, aucune volonté de contourner les législations n'a pu être caractérisée. »