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Le blé continue de s’effriter

Les cours du blé poursuivaient leur repli, vendredi, au lendemain d'une séance de pertes assez importantes, sur les marchés à terme européens. A la clôture, le blé échéance novembre cédait 1 €/t à 193,25 €/t, tandis que le maïs progressait de 0,75 €/t à 203 €/t.  Les cours du blé poursuivaient leur repli, vendredi, au lendemain d'une séance de pertes assez importantes, sur les marchés à terme européens. A la clôture, le blé échéance novembre cédait 1 €/t à 193,25 €/t, tandis que le maïs progressait de 0,75 €/t à 203 €/t.   Les marchés à terme américains ouvraient en baisse.   Jeudi soir, Bruxelles a délivré des certificats pour pouvoir exporter 236.000 t de blé hors de l'UE (dont 144.000 t à la France) et 140.000 t d'orge.   La hausse de l'euro face au dollar pénalise les origines européennes, dont le prix se renchérit, converti en dollar. Cette perte de compétitivité peut entraîner les céréales à la baisse.   Aussi, les pays de la mer Noire sont très agressifs à l'exportation en ce tout début de partie de campagne, avec des prix inférieurs de plus de 30 $ par rapport aux offres de vente européennes ou américaines.     Aux Etats-Unis, l'arrivée d'un front pluvieux lève certaines craintes quant à l'état des cultures de maïs qui sont au stade critique de la floraison.    ...

vendredi 22 juillet 2011 - 18h51

Sans orientation claire

Les cours des céréales démarraient la séance de cotation en baisse, sur les marchés à terme européens, puis se redressaient dans l'après-midi, alors que les ministres de la zone Euro semblaient trouver une parade pour aider la Grèce à régler la crise de la dette.  Les cours des céréales démarraient la séance de cotation en baisse, sur les marchés à terme européens, puis se redressaient dans l'après-midi, alors que les ministres de la zone Euro semblaient trouver une parade pour aider la Grèce à régler la crise de la dette.   En blé, l'échéance novembre perdait 0,5 €/t à 198,75 €/t en milieu d'après-midi, tandis que le blé ne trouvait pas d'orientation à l'ouverture des marchés à terme de Chicago.   En maïs, les cours étaient stables à 203,5 €/t échéance novembre, tandis que les marchés américains ouvraient en baisse. Aux Etats-Unis, premier producteur mondial, l'arrivée d'un front pluvieux a incité les investisseurs à prendre leurs bénéfices. En effet, les fortes chaleurs de ces dernières semaines avaient propulsé les cours à la hausse, avec les craintes sur les rendements, au moment critique de la floraison.   Le marché de l'orge fourragère reste encore assez ferme, soutenu par les faibles récoltes dans l'UE et les problèmes de logistique en Ukraine.    ...

jeudi 21 juillet 2011 - 18h38

Légère baisse

Mercredi, sur Euronext, les cours des céréales étaient orientés à la baisse, en début de journée, puis comblaient les pertes de la matinée, après l'ouverture en hausse dans l'après-midi du marché à terme de Chicago. A la clôture, le blé échéance novembre perdait 2,5 €/t à 199 €/t. Le maïs baissait de 2 €/t à 203,5 €/t.  Mercredi, sur Euronext, les cours des céréales étaient orientés à la baisse, en début de journée, puis comblaient les pertes de la matinée, après l'ouverture en hausse dans l'après-midi du marché à terme de Chicago.   A la clôture, le blé échéance novembre perdait 2,5 €/t à 199 €/t sur les marchés à terme européens. Le maïs baissait également de 2 €/t à 203,5 €/t. L'orge de brasserie n'était quasiment pas traitée, après la journée active de mardi.   Les pluies continuelles ralentissent la moisson du blé dans le Nord et le Centre de l'Europe, tandis qu'une vague de chaleur menace la qualité du maïs aux Etats-Unis, premier producteur et exportateur mondial.   Sur la scène internationale, le Japon est à la recherche de 180.000 t de blé et 200.000 t d'orge fourragère, tandis que le Bangladesh a lancé un appel d'offres pour la fourniture de 50.000 t de blé.   Les blés russes sont actuellement les plus attractifs, proposés à des prix inférieurs de 40 dollars environs aux offres américaines et européennes.   La Russie a vendu ces dernières semaines 150.000 t de blé à la Jordanie et 360.000 t à l'Egypte.   Selon le Conseil International des Céréales (CIC), Russie, Ukraine et Kazakhstan réunis disposeraient d'un potentiel exportable de 26,8 millions de tonnes (MT) de blé contre 15,1 Mt pour l'Union européenne et 30,5 Mt pour les Etats-Unis.    ...

mercredi 20 juillet 2011 - 18h58

Les cours se redressent avec les bourses

Mardi, les cours du blé gagnaient 6,25 €/t échéance novembre à 201,75 €/t, sur les marchés à terme européens à la clôture. Pour la même échéance, les prix du maïs s'affichaient à 205,5 €/t, en hausse de 3 €/t. L'orge de brasserie s'établissait à 280 €/t (+4,5 €/t).  Mardi, les cours du blé gagnaient 6,25 €/t échéance novembre à 201,75 €/t, sur les marchés à terme européens à la clôture. Pour la même échéance, les prix du maïs s'affichaient à 205,5 €/t, en hausse de 3 €/t. L'orge de brasserie s'établissait à 280 €/t (+4,5 €/t).   Après avoir suivi le décrochage des bourses, dans la journée de lundi, les prix des céréales saluent désormais le rebond des places financières. Dans ces moments de panique sur les marchés financiers, tous les supports d'investissements se trouvent corrélés, à quelques exceptions près.   En Allemagne, Pologne, Grande-Bretagne et Nord de la France, les moissons n'avancent pas, retardées par les averses, et les agriculteurs redoutent une dégradation de la qualité du blé.   Une frayeur encore peu justifiée. Les blés ne sont pas en "sur maturité". Cependant, si la situation persiste, les PS (poids spécifiques) pourraient diminuer, et les temps de chute de Hagberg se dégrader, avec le phénomène de germination sur pied.   Aux Etats-Unis, seulement 66 % des cultures de maïs sont désormais jugées « bonnes » à « excellentes » contre 69 % lors de l'évaluation de la semaine précédente, selon le dernier rapport de l'USDA (département américain à l'Agriculture) publié lundi soir.   La moisson des blés d'hiver a progressé (69 % contre 63 % la semaine précédente) mais elle reste encore un peu en retard sur l'an passé (70 %) et sur la moyenne de ces cinq dernières années (72 %).    ...

mardi 19 juillet 2011 - 19h25

Repli sur fond de crise de la dette en Europe

Les cours des céréales se repliaient, lundi, que ce soit sur les marchés européens ou américains. La situation dégradée sur les marchés financiers, sur fond de crise de la dette dans la zone euro, entraîne les grains dans son sillage. A la clôture, sur les marchés à terme européens, le blé échéance novembre perdait 4,75 €/t à 195,25 €/t.  Les cours des céréales se repliaient, lundi, que ce soit sur les marchés européens ou américains. La situation dégradée sur les marchés financiers, sur fond de crise de la dette dans la zone euro, entraîne les grains dans son sillage.   A la clôture, sur les marchés à terme européens, le blé échéance novembre perdait 4,75 €/t à 195,25 €/t. Pour la même échéance, le maïs s'affichait à 202,75 €/t, cédant 5 €/t par rapport au cours de compensation de vendredi.   Le blé d'origine Mer noire est très compétitif, sur la scène internationale. Les exportateurs européens ou américains font des offres de ventes supérieures d'au moins 20 €/t. Vendredi, la Russie a vendu 180.000 t de blé meunier à l'Egypte à 246,6 $/t embarqué.   Les exportateurs russes se dépêchent d'exporter, afin de profiter de la fenêtre de tir laissée par le gouvernement après l'embargo de 2010/2011. De plus, avec l'arrivée des récoltes, le pays a besoin de dégager de la place dans ses silos.   Aux Etats-Unis, premier exportateur et producteur de maïs, les fortes chaleurs inquiètent les opérateurs, alors que les cultures sont au stade critique de la floraison.    ...

lundi 18 juillet 2011 - 19h06

Nette progression

Mercredi, au lendemain de la publication du rapport mensuel du département américain à l'Agriculture sur l'offre et la demande mondiale, les cours des céréales continuaient de digérer les statistiques jugées haussières.  Mercredi, au lendemain de la publication du rapport mensuel du département américain à l'Agriculture sur l'offre et la demande mondiale, les cours des céréales continuaient de digérer les statistiques jugées haussières.   A la clôture, les cours du maïs gagnaient 7 €/t à 208,5 €/t échéance novembre, sur les marchés à terme européens. Pour la même échéance, le blé s'affichait à 201,25 €/t, gagnant 10 €/t par rapport au cours de clôture de mardi.   Les céréales américaines ouvraient également la séance en hausse, sur les marchés à terme de Chicago.   Le rapport de l'USDA a confirmé un bilan très tendu en maïs, notamment aux Etats-Unis, avec un stock à fin juin 2012 représentant à peine 5-6 % des utilisations annuelles du pays. La production a été révisée en recul, en blé et en soja.   Sur les marchés physiques, la demande ne se dément pas. Pour les céréales fourragères, les fabricants sont peu couverts à courte échéance pour assurer la soudure avec les nouvelles récoltes.   Le marché à terme de l'orge de brasserie enregistrait une bonne activité, avec des cotations en légère hausse. L'échéance novembre progressait de 1,5 €/t à 274 €/t.    ...

mercredi 13 juillet 2011 - 19h00

Stabilité sur Euronext

Malgré la publication des chiffres de l'USDA, et des marchés à terme américains qui ouvraient franchement en baisse, les céréales ne semblaient pas marquer de tendance claire, mardi, sur les marchés à terme européens. En fin d'après-midi, le cours du blé, échéance novembre, campait sur ses cotations de clôture de la veille à 190,75 €/t, après être venu tester son support de 185 €/t.  Malgré la publication des chiffres de l'USDA, et des marchés à terme américains qui ouvraient franchement en baisse, les céréales ne semblaient pas marquer de tendance claire, mardi, sur les marchés à terme européens.   En fin d'après-midi, le cours du blé, échéance novembre, campait sur ses cotations de clôture de la veille à 190,75 €/t, après être venu tester son support de 185 €/t. Même situation pour le maïs qui conserve sa prime par rapport au blé, à 199,5 €/t échéance novembre.   Pourtant, les marchés à terme de Chicago ont ouvert franchement dans le rouge, que ce soit pour le maïs, le blé ou le soja.   Après la publication du rapport de l'USDA sur l'offre et la demande mondiale, les marchés américains se sont concentrés sur la bonne surprise de production de maïs, laissant de côté l'annonce d'une production moins forte que prévue pour le blé et le soja.   Aussi, le contexte économique déprimé, entraîne les différents actifs à la baisse, dont les matières premières.   En Europe, la chute des cours est ressentie moins sévèrement, en raison de la baisse de l'euro face au dollar.    ...

mardi 12 juillet 2011 - 17h47

Baisse à la veille de l’USDA

Lundi, les cours des céréales étaient orientés à la baisse, sur les marchés à terme européens et américains. Les craintes de contagion de la crise de la dette grecque au reste de la zone euro fait fléchir les cours. En fin d'après-midi, le blé échéance novembre cédait 3,25 €/t à 191,5 €/t.  Lundi, les cours des céréales étaient orientés à la baisse, sur les marchés à terme européens et américains. Les craintes de contagion de la crise de la dette grecque au reste de la zone euro fait fléchir les cours.   En fin d'après-midi, le blé échéance novembre cédait 3,25 €/t à 191,5 €/t, sur les marchés à terme européens. Pour la même échéance, le maïs s'affichait à 199 €/t, perdant 2,5 €/t par rapport au cours de clôture de la veille.   Pourtant, sur le marché physique la demande reste forte en céréales fourragères. Les prix du maïs de l'ancienne récolte en attestent, avec une prime de 37 €/t comparé aux prix du maïs de la nouvelle récolte. Les fabricants se pressent de couvrir leurs besoins jusqu'à la prochaine moisson.   La mer Noire retrouve sa dynamique à l'exportation. Après l'achat par l'Egypte de 240.000 t de blé russe, la Tunisie et Israël ont, à leur tour, donné leur préférence aux origines mer Noire, pour respectivement 100.000 et 40.000 t. Les prix sont très compétitifs par rapport aux origines françaises ou américaines.   Les cultures de maïs arrivent à la phase critique de la pollinisation, dans l'hémisphère Nord, les éléments météorologiques sont suivis de près, surtout aux Etats-Unis.      ...

lundi 11 juillet 2011 - 18h27



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