Tendances céréales
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Le prix des céréales a continué de monter vendredi sur le marché à terme européen, toujours dopé par la sécheresse qui sévit en Europe de l'Est et par les rumeurs de taxes ou d'interdiction d'export. Le blé meunier cotait 192,75 €/t vers 17 h échéance novembre 2010, soit une progression de 4,75 €/t.
Le prix des céréales a continué de monter vendredi sur le marché à terme européen, toujours dopé par la sécheresse qui sévit en Europe de l'Est et par les rumeurs de taxes ou d'interdiction d'export.
Dans son rapport mensuel publié hier le CIC a ainsi revu la production mondiale de blé 2010 en baisse de -13 Mt par rapport au mois dernier à 651 millions de tonnes en lien avec des reculs de récolte en Europe, Mer Noire et au Canada.
Le blé meunier cotait 192,75 €/t vers 17 h échéance novembre 2010, soit une progression de 4,75 €/t.
Dans le sillage du blé, le maïs n'est pas en reste, avec une progression de 4 €/t, à 177 €/t échéance novembre 2010.
La sécheresse russe qui perturbe le marché du blé, déstabilise par ricochet celui de l'orge fourragère. Il est probable que la Russie fasse le choix de conserver l'orge pour ses éleveurs. L'Ukraine est aussi absente ces derniers jours.
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vendredi 30 juillet 2010 - 18h39
Le prix du blé a continué sa progression jeudi sur le marché à terme européen après la forte hausse d'hier où la céréale a atteint un nouveau plus haut de la campagne à 190 €/T en séance. Jeudi vers 17 h, le blé meunier cotait 191,75 €/t sur l'échéance novembre 2010, soit une progression de 2,25 €/t.
Le prix du blé a continué sa progression jeudi sur le marché à terme européen après la forte hausse d'hier où la céréale a atteint un nouveau plus haut de la campagne à 190 €/T en séance.
Jeudi vers 17 h, le blé meunier cotait 191,75 €/t sur l'échéance novembre 2010, soit une progression de 2,25 €/t. Cette hausse est liée à la dégradation des cultures à en zone mer Noire.
En Russie, dans les zones les plus touchées, les rendements seraient inférieurs de moitié à ceux de l'an dernier, tandis qu'en Ukraine, le rendement moyen tournerait autour de 27,5 q/ha contre 31,5 q/ha l'an passé. Les blés du Kazakhstan ne seraient pas non plus à la hauteur.
Cette perspective soutient les prix chez les autres exportateurs, en particulier, les Etats-Unis, le Canada, l'Australie et l'Union européenne, lesquels entrevoient déjà de belles opportunités de ventes sur le pourtour méditerranéen ou le sud-est asiatique.
Par ailleurs, certains importateurs, déjà inquiets pour leurs approvisionnements, ont assoupli leurs procédures d'achats. Ainsi l'Egypte a annoncé qu'elle acceptait que ses commandes de blé soient chargées à partir de deux ports différents contre un seul autorisé l'an dernier, ce qui pourrait favoriser les embarquements français dans les prochains appels d'offre, notamment à partir du port de Rouen.
Dans le même temps, le maïs affiche une hausse de 2,25 €/t à 177 €/t sur l'échéance novembre 2010.
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jeudi 29 juillet 2010 - 19h06
Les cours sont toujours soutenus par les interrogations concernant les récoltes à l'est de l'Europe, notamment en Russie, exportateur de premier plan, affectée par la sécheresse. Vers 17 h mercredi, le blé meunier côté sur Euronext progressait de 9 €/t. Le contrat pour livraison en novembre 2010 valait 189,75 €/t.
Les prix des céréales ont progressé fortement mercredi sur le marché à terme européen (Euronext), toujours soutenu par les interrogations concernant les récoltes à l'est de l'Europe, notamment en Russie, exportateur de premier plan, affectée par la sécheresse.
La récolte russe pourrait être inférieure à 70 millions de tonnes selon l'analyste « SovEcon ». L'idée que la Russie pourrait restreindre ses exportations de blé tire les prix mondiaux vers le haut.
Vers 17 h, le blé meunier côté sur Euronext progressait de 9 €/t. Le contrat pour livraison en novembre 2010 valait 189,75 €/t.
Le marché du maïs reste encore sur sa réserve dans l'attente de passer la phase critique de l'été. Il gagne toutefois 8 €/t à 175 €/t pour l'échéance novembre.
Dans le sillage du blé, le marché européen de l'orge demeure bien orienté. ...
mercredi 28 juillet 2010 - 19h11
Après un repli mardi matin sur le marché à terme européen, le prix du blé s'est refait une petite santé dans l'après-midi pour atteindre 182 €/t vers 17 h pour l'échéance novembre 2010.
Après un repli mardi matin sur le marché à terme européen, le prix du blé s'est refait une petite santé dans l'après-midi pour atteindre 182,25 €/t vers 17 h pour l'échéance novembre 2010, soit une hausse de 4,50 €/t depuis l'ouverture d'Euronext ce mardi.
Les interrogations portent toutefois sur le potentiel d'exportation de pays comme la Russie, l'Ukraine ou le Kazakhstan, explique un trader.
Bruxelles a accordé 153.000 t de certificats export blé portant le total à 670.000 t depuis le début de la campagne, un volume déjà supérieur à celui de l'an dernier à la même époque.
Le maïs, qui suivait le repli du blé, est aussi à la hausse à 168,75 €/t échéance novembre 2010 vers 17 h, soit une progression de 1,75 €/t depuis l'ouverture du marché à terme ce matin. Le crop rating (état des cultures) américain fait état de résultats bons à excellents pour 72 % des maïs.
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mardi 27 juillet 2010 - 18h47
Vendredi, le marché des céréales digère la hausse de la veille, en corrigeant légèrement à la baisse. Certains producteurs en profitent pour vendre et bénéficier de la hausse. Les opérateurs financiers prennent leurs bénéfices.
Le marché des céréales digère la hausse de la veille, en corrigeant légèrement à la baisse. Certains producteurs en profitent pour vendre et bénéficier de la hausse. Les opérateurs financiers prennent leurs bénéfices.
Sur Euronext, le blé échéance novembre perdait ainsi 0,5 €/t à 178,25 €/t en fin d'après-midi. Le maïs se repliait à 166,5 €/t, échéance novembre perdant 1,75 €/t. L'orge de brasserie se tenait à l'écart des négociations sur Euronext.
Les marchés à terme américains sont orientés à la hausse ces dernières semaines, mais les niveaux de prix atteints sur les marchés à terme de Chicago reviennent à peine à ceux connus en début d'année 2010. En revanche, en Europe, les prix atteignent des niveaux plus rencontrés depuis la fin 2008, signe que les tensions sont bien plus vives sur le marché européen.
Les opérateurs restent très attentifs à toutes les nouvelles informations parvenant sur les niveaux de production et sur les échanges internationaux. De même, les décisions politiques de certains pays exportateurs concernant leur marché, sont suivies avec grand intérêt.
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vendredi 23 juillet 2010 - 18h44
Les prix des céréales ont conforté jeudi le rebond de la veille. Après une forte hausse en première partie de séance, les prix se sont finalement repliés, mais restent dans le vert. Ainsi, le blé gagnait 2,75 €t à 177,75 €/t peu avant la clôture, échéance novembre, sur les marchés à terme européens. Pour la même échéance, le maïs gagnait 3,25 €/t à 166,5 €/t.
Les céréales ont conforté jeudi le rebond de la veille. Après une forte hausse en première partie de séance, les prix se sont finalement repliés, mais restent dans le vert. Ainsi, le blé gagnait 2,75 €t à 177,75 €/t peu avant la clôture, échéance novembre, sur les marchés à terme européens. Pour la même échéance, le maïs gagnait 3,25 €/t à 166,5 €/t.
Les marchés ont salué l'achat de 300.000 tonnes de blé par l'Algérie. Aussi, la décision du gouvernement russe de débloquer 3 millions de tonnes de stocks d'Etat pour réduire les prix de son marché intérieur, a affolé les opérateurs. Il est inhabituel que le gouvernement prenne de telles dispositions aussi précocement dans la campagne.
La sécheresse qui frappe les grandes régions de production du vieux continent laisse toujours craindre pour le niveau de production des céréales à paille.
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jeudi 22 juillet 2010 - 19h29
Les céréales reprenaient le chemin de la hausse, mercredi sur les marchés à terme européens. Peu avant la clôture, le blé échéance novembre gagnait 5 €/t à 173 €/t, le maïs gagnait 2 €/t à 162,75 €/t. Seule l'orge de brasserie évoluait en terrain négatif à 190 €/t échéance mars, perdant 5 €/t.
Les céréales reprenaient le chemin de la hausse, mercredi sur les marchés à terme européens. Peu avant la clôture, le blé échéance novembre gagnait 5 €/t à 173 €/t, le maïs gagnait 2 €/t à 162,75 €/t. Seule l'orge de brasserie évoluait en terrain négatif à 190 €/t échéance mars, perdant 5 €/t.
La canicule qui a sévi sur la plupart des régions en Europe, en Russie et au Kazakhstan, entraîne des révisions à la baisse de la production dans ces pays pour les céréales à paille.
L'écart entre le prix des blés russes et français se resserre, ce qui n'empêche pas la Russie de rester très active à l'exportation.
Le marché est hésitant, entre la pression exercée par la nouvelle récolte, et les informations qui parviennent sur la réduction du niveau de production dans l'hémisphère Nord.
En Roumanie, Bulgarie et Ukraine, ce sont les pluies abondantes qui ont détérioré les rendements et la qualité.
« En France, la situation semble meilleure que prévue : les rendements sont bons et conformes à une année moyenne avec surtout, une qualité meunière excellente, à plus de 11,5 de protéine » analyse un trader.
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mercredi 21 juillet 2010 - 19h02
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