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En baisse

Les prix des céréales ont fléchi, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 185 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 148,75 €/t (- 0,50 €/t).  Les prix des céréales ont fléchi, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 185 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 148,75 €/t (- 0,50 €/t).   Les cours européens des céréales ont reculé légèrement mercredi, suivant le mouvement imprimé par la bourse de Chicago, principale place mondiale d'échange du blé. « La perspective de stocks importants tire les prix à la baisse », note Arnaud Saulais, de Starsupply Renewables. L'achat de blé américain effectué mardi par l'Egypte « a échoué à apporter du soutien au marché », ajoute-t-il.   L'Egypte, premier importateur mondial de blé, a acheté 290.000 tonnes de blé aux Etats-Unis, après avoir refusé une première offre la semaine dernière pour cause de prix trop élevé. Les Etats-Unis, qui peinent à vendre leur blé cette année, ont spécialement octroyé une ligne de crédit de 100 millions de dollars à l'Egypte « pour financer des achats de produits américains », explique Damien Vercambre d'Inter-Courtage.   En France, sur le marché physique, blé, orges et maïs perdaient 1 €/t à la mi-journée.  ...

mercredi 25 février 2015 - 18h13

En baisse

Le prix des céréales a reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 184,75 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 149,25 €/t (- 2 €/t).  Le prix des céréales a reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 184,75 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 149,25 €/t (- 2 €/t).   « Tant que les céréales continuent d'être chargées, le marché ne réagit pas » au conflit ukrainien, souligne Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. Par ailleurs, la météo ne suscite en ce moment aucune inquiétude sur les grandes zones céréalières mondiales, en Europe comme aux Etats-Unis, ce qui explique le grand calme qui règne sur les marchés.   Le Maroc a acheté 365.000 tonnes de blé tendre européen, mais « n'a pas reçu d'offre en blé dur », céréale actuellement touchée par une pénurie de production, explique le cabinet Agritel.   Après le blé, la Russie « pourrait également bientôt mettre en place des taxes à l'export en maïs et en orges » pour essayer de « juguler l'inflation sur son marché domestique sur les produits alimentaires », ajoute Agritel.   Baisse de la sole de maïs aux USA   Les premières estimations sur les intentions de semis aux Etats-Unis ont été révélées, la semaine dernière, lors du forum USDA sur les perspectives agricoles 2015, indique l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. « Alors que les opérateurs envisageaient une augmentation de la production américaine de soja, l'USDA a surpris les marchés en annonçant une sole 2015 en légère baisse par rapport à l'an dernier. La sole de maïs est quant à elle prévue en baisse de 1,8 %, soit 36 Mha. Avec cette réduction de surface et une réduction des rendements (après une année record), l'USDA estime la production américaine 2015 en baisse de 4 % par rapport à 2014, soit 345 Mt. »   Les prix des frets maritimes ont continué à reculer la semaine dernière. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 20 février, à 513 points, contre 530 points une semaine auparavant. Mercredi, le BDI avait atteint 509 points, son plus bas niveau depuis la création de l'index en 1985.   Le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a, lui, terminé en légère hausse vendredi, à 514 points contre 499 points une semaine auparavant. Les cours ont trouvé un peu de soutien sur les routes au départ du Golfe du Mexique, mais les taux d'affrètement sont restés bas la semaine dernière. « Les volumes de graines de soja exporté des États-Unis (Golfe du Mexique) ont été plus importants cette année que l'année dernière mais cela n'a pas vraiment aidé les taux des Panamax », expliquent les analystes de Braemar ACM.  ...

lundi 23 février 2015 - 18h21

Hausse du blé

Le prix du blé a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2015 valait 187 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 152,50 €/t (- 0,25 €/t).  Le prix du blé a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat mars 2015 valait 187 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 152,50 €/t (- 0,25 €/t).   Le marché européen des céréales est resté très calme jeudi, à l'approche d'un nouvel appel d'offres de l'Egypte sur du blé, pour lequel la France est bien placée. L'achat du Caire devrait « logiquement » se porter sur du blé français, en raison de son prix toujours très intéressant pour le premier importateur mondial de la céréale, estime Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. L'Egypte avait renoncé mercredi à acheter du blé américain, jugé trop cher.   La Russie, autre grand fournisseur traditionnel de l'Egypte, « a annoncé qu'elle pourrait revoir à la hausse ses taxes à l'exportation sur le blé », affirme le cabinet Offre et Demande Agricole (ODA).   Les stocks français de maïs ont été revus à la hausse, mercredi par FranceAgriMer. « A l'importante production française, il convient d'ajouter l'absence de perspectives à l'export », ce qui pèse sur les cours en bourse, note Agritel.   En France, sur le marché physique, blé, orges et maïs étaient à l'équilibre.  ...

jeudi 19 février 2015 - 17h56

Proches de l'équilibre

Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 188,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 153 €/t (+ 0,25 €/t).  Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé mars 2015 valait 188,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 153 €/t (+ 0,25 €/t).   L'Algérie cherche à acheter du blé pour livraison en juin ; le résultat sera connu mercredi, précisent les analystes.   Le marché du maïs est « nettement plus moribond », pénalisé par des stocks record à l'intérieur de l'Union européenne, traditionnellement importatrice net de maïs, explique le cabinet Agritel dans une note.   « La récente remontée de la production de maïs en Ukraine par (le ministère américain de l'Agriculture) pèse également sur les cours européens, avec des opérateurs qui anticipent de potentielles nouvelles importations », précise Agritel.   En France, sur le marché physique, blé, orges et maïs étaient en hausse.  ...

mardi 17 février 2015 - 18h23