Tendances céréales
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Les prix des céréales ont reculé, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 261,25 €/t (-0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 247,75 €/t (- 1,75 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, mercredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 261,25 €/t (-0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 247,75 €/t (- 1,75 €/t).
Les céréales européennes, qui avaient fortement fléchi la veille, ont continué, mercredi, à subir l'influence du rapport baissier de l'USDA.
Mardi, les experts américains avaient relevé les estimations de production de blé au niveau mondial de 3,7 Mt, à 655,11 Mt, pour tenir compte d'un relèvement de la production en Chine et en Australie.
De nombreux chiffres sont jugés trop optimistes, comme la production de blé en Australie à 22 Mt, ou encore les chiffres export pour l'Argentine affichés à 6 Mt, alors que le gouvernement estime que celui-ci ne pourra dépasser les 4,5 Mt, rapporte Agritel.
En France, selon les premières estimations d'ensemencements en vue de la récolte 2013, les surfaces en blé tendre d'hiver pourraient croître de 2% pour approcher les 5 millions d'hectares, ont annoncé mercredi les responsables de la filière céréalière de FranceAgriMer. 
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mercredi 12 décembre 2012 - 19h14
Les prix des céréales ont reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 262,75 €/t (- 3,75 €/t), le maïs même échéance se valorisant 249,50 €/t (- 1,75 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 262,75 €/t (- 3,75 €/t), le maïs même échéance se valorisant 249,50 €/t (- 1,75 €/t).
La journée a été dominée par la publication du rapport mensuel du département américain de l'agriculture (USDA), qui a relevé ses prévisions de productions mondiales de blé et de maïs en 2012/13 grâce à des récoltes meilleures qu'attendu en Chine.
L'USDA table sur une récolte mondiale de blé de 655,1 Mt, au lieu de 651,4 Mt prévu en novembre. La prévision de récolte est réévaluée en Australie (22 Mt, + 1 Mt) et en Chine (120,6 Mt, + 2,6 Mt). Le stock mondial de fin de campagne est porté à 176,95 Mt, contre 174,2 Mt attendu en novembre.
La production mondiale de maïs est désormais évaluée à 849,1 Mt, contre 839,7 Mt prévu en novembre. La récolte est légèrement abaissée en Argentine (27,5 Mt, - 0,5 Mt) et en Ukraine (20,5 Mt, - 0,5 Mt). A l'inverse, elle est sensiblement réévaluée en Chine (208 Mt, + 8 Mt). Le stock mondial de fin de campagne est légèrement révisé à la baisse (117,6 Mt, - 0,4 Mt).
Sur la scène internationale, le courant d'affaires est dynamique en ce début de semaine avec l'achat par l'Irak de 350.000 t de blé roumain et australien. D'autres importateurs, comme l'Arabie Saoudite et l'Egypte, sont aussi aux achats. De son côté, la Jordanie a lancé un nouvel appel d'offres pour 100.000 t de blé.
En France, les surfaces ensemencées en blé d'hiver seraient en progression de 2,8 % à 4,96 millions d'hectares, tandis que celles dédiées à l'orge d'hiver augmenteraient de 9,7 % à 1,09 million d'hectares, selon des estimations communiquées, lundi, par le ministère de l'Agriculture.
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mardi 11 décembre 2012 - 19h19
Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 266,75 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 252 €/t (- 2 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 266,75 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 252 €/t (- 2 €/t).
Les prix du blé et du maïs ont suivi, lundi, la tendance baissière des céréales américaines sur un marché à terme européen qui prenait ses bénéfices à la veille du rapport mensuel du département américain de l'Agriculture (USDA).
Sur la scène internationale, l'Arabie Saoudite a acheté 295.000 t de blé d'origine américaine, européenne et australienne.
Sur le continent américain, les pluies continuent de perturber les semis de maïs et les récoltes de blé en Argentine, tandis que la sécheresse aux Etats-Unis reste préjudiciable au blé américain.
En Argentine, les analystes revoient en nette baisse les estimations de production de maïs, entre 22 et 27 Mt, rapporte l'AGPM dans sa lettre économique du lundi.
Sur le pourtour de la mer Noire, la situation reste très contrastée : en Ukraine, l'état des cultures à l'entrée de l'hiver est jugé pour l'instant satisfaisant. En Russie, la grande zone productrice de blé au sud du pays reste en proie à un grave déficit hydrique, et les risques de gel sont importants sur des cultures insuffisamment développées.
Les semis de blé sont réalisés à 98 %, tandis que 2 % des surfaces dans les régions Centre, Pays de la Loire et Poitou-Charentes ne devraient pas être semées en blé d'hiver, selon FranceAgriMer.
Les prix des transports maritimes de matières premières ont poursuivi leur repli, la semaine dernière, dans un marché marqué par la surcapacité chronique de la flotte et une demande de plus en plus terne à l'approche de la période des fêtes de fin d'année.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), moyenne des tarifs pratiqués sur 24 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a terminé, vendredi 7 décembre, à 966 points, son niveau le plus faible depuis près d'un mois, contre 1.086 points sept jours auparavant.
Le Baltic Panamax Index (BPI), qui concerne sept routes, la plupart pour les céréales, a terminé, vendredi, à 936 points, son niveau le plus faible depuis le 20 novembre, contre 980 points une semaine plus tôt.
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lundi 10 décembre 2012 - 18h39
Les prix des céréales ont progressé, vendredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 268,75 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 254 €/t (+ 2 €/t).
Les prix des céréales ont progressé, vendredi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 268,75 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 254 €/t (+ 2 €/t).
A l'international, Bruxelles a autorisé cette semaine l'exportation de 712.000 tonnes de blé, « le plus haut volume depuis deux ans », indique Commerzbank.
Depuis le début de l'année commerciale, en juillet, 8 millions de tonnes de blé (Mt) ont été exportées, contre 6,6 Mt l'an passé à la même date.
« Ce rythme ne pourra rester aussi soutenu toute l'année, les disponibilités à l'export étant insuffisantes », préviennent pourtant les analystes d'Agritel dans leur note quotidienne.
La hausse des exportations européennes coïncide avec le retrait progressif des pays exportateurs de la mer Noire, après une première partie de campagne très agressive à l'international.
Bruxelles a par ailleurs autorisé l'exportation de 118.000 tonnes d'orge, soit un volume total exporté de 3,8 millions de tonnes contre 1,8 million l'an passé à pareille époque.
L'Europe a importé 217.000 tonnes de maïs cette semaine. « Les besoins d'importation en maïs pour l'Europe sont estimés cette année à plus de 10 millions de tonnes », selon Agritel.
Aux Etats-Unis, les conditions climatiques actuelles trop sèches sur les zones de production de blé nuit au bon développement des semis avant l'hiver.
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vendredi 07 décembre 2012 - 19h17
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 267,75 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 252 €/t (- 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. A la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 267,75 €/t (- 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 252 €/t (- 0,50 €/t).
Le ministère de l'Agriculture australien a réduit ses perspectives de production de blé à 22 Mt bien que le marché table encore entre 19 et 21 Mt, indique Offre et demande agricole (ODA). Simultanément, est-il ajouté, « la production de blé en Argentine fait face à des réductions en quantité mais également en qualité, ce qui devrait forcer son principal client, le Brésil, à trouver de nouveaux fournisseurs ».
Bonne nouvelle, en revanche, une deuxième vague de neige recouvre les plaines de l'ouest et du centre de l'Ukraine qui devrait protéger les cultures de la forte baisse des températures prévue pour le week-end prochain, avec un mercure sous les -15°C dans le centre du pays, rapporte Agritel.
Au cours du mois de décembre, ajoute le même cabinet, « l'Ukraine pourrait exporter entre 1,5 et 2 Mt de grains, dont une très grande majorité de maïs ». A ce rythme, « près de la moitié du disponible exportable en maïs aura quitté le pays pendant les 6 premiers mois de campagne ». ...
jeudi 06 décembre 2012 - 18h49
Les prix des céréales ont rebondi, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 268,25 €/t (+ 1,50 €/t) tandis que le maïs même échéance s'échangeait 252,50 €/t (+ 3 €/t).
Les prix des céréales ont rebondi, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 268,25 €/t (+ 1,50 €/t) tandis que le maïs même échéance s'échangeait 252,50 €/t (+ 3 €/t).
Les prix du blé et du maïs ont évolué, mercredi, sur un marché à terme européen soutenu par un léger repli de l'euro et par des conditions climatiques adverses sur le continent américain.
L'état de sécheresse perdure dans le sud des Etats-Unis sur les blés d'hiver, alors que des pluies excessives pénalisent les semis de maïs en Argentine, où la perspective de production vient d'être ramenée à 27 Mt par l'analyste Informa (28 Mt estimé le mois dernier).
En Ukraine, la neige a fait son apparition sur la moitié ouest du territoire et d'autres chutes de neige sont attendues dans les prochains jours. Le manteau neigeux actuel serait suffisant pour protéger les cultures, selon Offre et demande agricole.
Sur la scène internationale, Taïwan a acheté 60.000 tonnes de maïs brésilien.
Agritel a indiqué, mercredi, que son index de la volatilité des marchés « poursuit sa chute et atteint un nouveau niveau historique pour le mois de décembre, à 18,3 %. La volatilité des marchés n'aura jamais été si faible, ceci notamment dû à un contexte macroéconomique mondial plus stable. Les prix se maintiennent donc depuis plusieurs semaines, et à des niveaux historiquement élevés. »
En France, sur le marché physique (gré à gré), les prix du blé et de l'orge étaient stables à la mi-journée, celui du maïs progressant de 1,50 €/t.
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mercredi 05 décembre 2012 - 18h33
Les prix des céréales ont fléchi, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 267,25 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 249,75 €/t (- 3 €/t).
Les prix des céréales ont fléchi, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 267,25 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 249,75 €/t (- 3 €/t).
Le marché européen des céréales est d'abord resté assez proche de l'équilibre, mardi, soutenu par des bilans toujours tendus, mais pénalisé par la cherté de l'euro (il s'approche de 1,31 dollar) qui dessert les exportations de l'UE.
Sur le front climatique, les précipitations attendues dans les prochains jours en Australie devraient à nouveau contrarier la poursuite des semis de maïs.
En Australie toujours, la production de blé devrait finalement chuter à 22,03 Mt cette année, contre 22,54 Mt estimé le mois dernier et 29,5 Mt récolté l'an passé, selon des données officielles rapportées par Agritel.
Sur le marché français, la demande espagnole en céréales fourragères reste bien présente, même si les opérateurs semblent se retirer progressivement, constate Offre et demande agricole.
Sur le marché physique, les prix du blé, de l'orge fourragère et du maïs restaient inchangés à la mi-journée.
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mardi 04 décembre 2012 - 18h36
Orientés à la hausse une grande partie de la journée, les prix des céréales ont finalement peu évolué, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 269,75 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 253,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Orientés à la hausse une grande partie de la journée, les prix des céréales ont finalement peu évolué, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé janvier 2013 valait 269,75 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 253,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Les conditions climatiques trop sèches aux Etats-Unis sont restées au cœur de l'actualité et ont continué à soutenir le marché à terme européen des céréales, lundi, malgré la cherté de l'euro, repassé en journée au-dessus de 1,30 dollar.
Outre-Atlantique, la sécheresse qui affecte le centre des Etats-Unis a des conséquences négatives sur la récolte 2013 de blé d'hiver, dont la qualité est à un niveau historiquement bas. Peu de précipitations sont attendues durant les deux prochaines semaines sur le Midwest, ce qui accentue par ailleurs les difficultés de navigabilité sur le fleuve Mississipi, avec des craintes d'interruption de trafic en raison d'un trop bas niveau de ses eaux.
Sur la scène internationale, l'Egypte a acheté, samedi, 400.000 t de blé, dont 280.000 t aux Etats-Unis, 60.000 t à la France et à la Roumanie. « Cela illustre le retour de compétitivité des origines américaines qui s'affichent maintenant quasiment à parité avec les origines européennes », commente Agritel dans sa note quotidienne.
Par ailleurs, le Japon a également acheté 149.500 t de blé d'origine américaine et australienne, alors que les résultats des appels d'offres de la Syrie et de la Jordanie sont toujours en attente.
L'AGPM rapporte, dans sa note économique hebdomadaire du 3 décembre, que le bureau des statistiques chinois a annoncé, pour 2012, une production de 208 Mt, en progression de 15 Mt par rapport à la campagne précédente. « Ce chiffre est nettement au-dessus des dernières estimations de l'USDA » (200 Mt évoqué le 9 novembre).
En France, les températures sont attendues en baisse en fin de semaine, ce qui devrait coïncider avec la période de dormance des cultures d'automne.
Sur le marché physique, les prix du blé, du maïs et de l'orge progressaient de 2 €/t à la mi-journée.
Les prix des transports maritimes de matières premières sèches ont interrompu, en fin de semaine dernière, leur récent mouvement de hausse.
Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI), moyenne des tarifs pratiqués sur 24 routes de transport en vrac de matières sèches (minerais, charbon, métaux, céréales, etc.), a terminé, vendredi 30 novembre, à 1.086 points, contre 1.090 points sept jours auparavant.
Le Baltic Panamax Index (qui concerne sept routes, la plupart pour les céréales), a terminé, vendredi, à 980 points, contre 1.013 points une semaine plus tôt, après avoir atteint, mardi, son plus haut niveau depuis fin juillet, à 1.023 points. ...
lundi 03 décembre 2012 - 18h54
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