Publié le mercredi 23 mai 2007 - 16h30
Qu’il soit au réel ou au forfait, l’agriculteur doit surveiller le développement des recettes accessoires. Il peut ainsi choisir la meilleure situation fiscale.
Pour les exploitants agricoles, le développement d’activités commerciales comme la vente directe de produits fermiers ou des services de travaux agricoles pose le problème de l’affectation de ces nouveaux revenus. Habituellement soumis aux bénéfices agricoles (BA), les agriculteurs qui se diversifient doivent du coup se confronter aux bénéfices...
La suite de cet article est réservée aux abonnés de La France Agricole.
Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.
Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :
Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles
Découvrir nos Offres