La Confédération française de l'aviculture (CFA) s'est félicitée le 18 septembre 2013 que le Premier ministre ait validé le rapport de la mission menée par le délégué interministériel à l'Agroalimentaire, Alain Berger.
« La CFA est à pied d'œuvre pour faire part de ses propositions concrètes » pour le plan annoncé. Elle en appelle aux pouvoirs publics pour qu'ils réaffirment « la volonté de conforter notre capacité exportatrice » afin de « développer nos exportations sur les marchés porteurs ».
Autre priorité : la reconquête du marché intérieur. La CFA « demande qu'une application rapide et efficace des mesures envisagées permette un réel renforcement de la compétitivité de la production française et une restructuration de la filière porteuse d'avenir ».
Face à la crise dans le secteur des œufs, il est nécessaire « d'adapter la production aux possibilités d'absorption des marchés ». « La CFA regrette que les mesures de régulation préconisées par l'Interprofession n'aient pas pu être rendues obligatoires au prétexte de la libre concurrence. » Elle demande aux opérateurs de la filière de poursuivre les « mesures volontaires » prises pour réduire la surproduction de ces derniers mois.
Afin de ne pas mettre à mal les efforts de la filière, la CFA appelle la distribution à ne pas appliquer de baisse des prix, malgré la légère détente sur les marchés des matières premières.
Exporter ?
mercredi 25 septembre 2013 - 14h58
est il judicieux d'augmenter la capacité à exporter , si ensuite il faut que ce soit à coups de primes , ne serait il pas mieux de se concentrer sur une qualité supérieure et conforter la production nationale , en expliquant aux consommateurs l'avantage d'avoir un produit de qualité à un prix correct pour tous ?? il y aurait sûrement moins d'argent public dépensé à tort et à travers , puisque actuellement on ne sait produire qu'à coups de primes et aides de toutes sortes !!!!!!!!!