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Changement climatique

Un nouvel outil scientifique pour suivre les émissions de GES

Publié le lundi 21 septembre 2015 - 15h54

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Le réseau national Écosystèmes-Icos, un nouvel outil scientifique pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), a été inauguré le 18 septembre 2015 sur le site de l'Inra Bordeaux Aquitaine.

  

Le réseau Icos (Integrated Carbon Observation System) constitue un réseau mondial « d'observation et de mesure de l'évolution de l'environnement, du climat et des GES », explique un communiqué de presse de l'Inra. Icos est spécifiquement affecté à la mesure en continu des flux et des concentrations en GES dans l'atmosphère, les océans et à la surface des continents. Les GES analysés sont le dioxyde de carbone (écosystèmes, fuels fossiles et cimenteries), le méthane (gaz naturel, agriculture et élevage), l'oxyde nitreux (agriculture, fuels fossiles et feux).

 

« À plein régime, le réseau Icos mobilisera plus de 500 chercheurs et ingénieurs de 17 pays européens pour un budget d'investissement de 200 M€ et un fonctionnement annuel stabilisé de 23 M€ », précise le communiqué.

 

Les stations du réseau Écosystèmes de Icos suivent en continu les échanges de GES entre les différents écosystèmes terrestres (cultures, prairies, forêts et zones humides). L'ensemble de ces observations permet d'établir le bilan en GES de ces différents usages des terres, de suivre son évolution et d'en comprendre les déterminants.

 

Cl.F.


Les commentaires de nos abonnés (1)
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gaspillage

lundi 21 septembre 2015 - 17h00

Où comment brasser de l'air avec l'argent des contribuables, ce projet tient la corde. En effet, on construit un modèle pour estimer les GES (mazette, 200 M d'investissement!). Problème, c'est que nous sommes parfaitement incapables de relier les GES avec les hausses de températures observées au XX siècle, nous avons même une stagnation des températures depuis plus de 17 ans, sans que la communauté scientifique comprenne grand-chose. Il semblerait désormais que l'impact des GES sur les températures ait été surestimé par les modèles (dixit le GIEC). Ce qui fait qu'on a affecté des ressources (200 M, quand même), sans doute pour rien, sauf pour des organismes qui tiennent surtout à ce que la fête continue. On aurait pu utiliser ces fonds à des choses plus utiles.
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