Faisant suite à la publication de la carte des « fermes-usines » de la Confédération paysanne, José Bové a lancé une pétition contre les fermes géantes qui a recueilli à ce jour 190.000 signatures. Répondant aux pétitionnaires dans une lettre, le ministre de l'Agriculture a pris soin de faire un sérieux distingo.
D'un côté, il y a, dans cette liste établie par la Confédération paysanne, quelques projets qui font appel à des capitaux extérieurs. Dans ce cas, le ministre dit s'inquiéter du fait que l'activité agricole se positionne comme une activité spéculative « susceptible d'être abandonnée dès qu'elle n'est plus rentable ».
En revanche, il souligne que les projets portés par un collectif d'agriculteurs, qui répondent par ailleurs à toutes les exigences réglementaires, y compris celles relatives au bien-être animal, sont un atout. Et ceci, pour l'économie des exploitations mais aussi pour la vivabilité du métier.
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vendredi 07 août 2015 - 13h34
* Message L'homme ne peut pas aller contre la nature. Toutes concentrations en un endroit de céréales,d'animaux...., engendre des problèmes autrefois ceux ci n'existaient pas avec cet importance . De méme que La sélection des plantes et des bétes a entrainé la fragilisation des espéces. La généralisation des traitements et des antibiotiques,a augmenté la résistance des maladies,et des parasites. Ce qui a entrainé un cercle vicieux, l'agriculture actuelle pollue de plus en plus et empoisonne les hommes et la terre pour longtemps. Ce qui est grave c'est de ne pas voir la réalité,nos productions ont perdues en qualité et sont devenues néfastes à la santé des hommes. Le lait,la viande,les légumes...., la nature de ces aliments ayant changés ils n'apportent plus au corps les éléments qu'ils devraient apporter. L'évolution des techniques agricoles pousse l'agriculteur vers la fin de son métier actuel. Nourrir tous les hommes avec ce mode d'agriculture risque de détruire l'humanité à plus ou moins long terme. La nature ne se laissera pas dominer,c'est toujours elle qui aura le dernier mot.