Avec la quasi-disparition des gelées, il est possible d'épandre la première fraction azotée sur blé. Les besoins étant faibles à ce stade et le coefficient d'utilisation rarement élevé ; il est souvent inutile de dépasser 40 u/ha.
Mieux vaut réserver des unités supplémentaires pour l'apport à la fin de la montaison qui favorisera la production de protéines. L'engrais à ce stade vise à conforter le tallage sans favoriser la montée de talles secondaires non productives.
Si l'apport est réalisé sur terrain humide et quelques jours avant une pluie, il est inutile de majorer la dose, y compris avec la solution azotée.