Faisant suite à la période de gel qui a sévi au début de février 2012, le Groupement national interprofessionnel des semences et plants (Gnis) a mené une enquête auprès des entreprises productrices de semences.
« Les disponibilités en semences certifiées, que ce soit en orge de printemps ou pour d'éventuels ressemis en blé dur, permettront a priori d'approvisionner le marché », informe le Groupement.
En orge de printemps, les quantités de semences produites couvrent les besoins potentiels des agriculteurs.
« Dans le cas du blé dur, espèce alternative que les agriculteurs peuvent encore semer, le réseau de stations de semences dispose des quantités nécessaires pour des ressemis qui seront sans doute limités aux cas extrêmes », indique le Gnis.