«Je ne laisserai pas disparaître la filière ovine et caprine», a déclaré vendredi lors d'une visite dans la Haute-Loire le ministre de l'Agriculture Michel Barnier, estimant que la Pac est un «accord solide qui va permettre une équité entre éleveurs».
La Pac «n'est pas une politique d'assistance et de charité, mais une politique qui assure une dynamique du territoire et protège notre modèle alimentaire, avec des produits sûrs, de qualité et diversifiés», a-t-il estimé, faisant allusion à l'interdiction du poulet chloré et du boeuf aux hormones américains.
Les pays de l'Union européenne sont parvenus en novembre à un accord sur le bilan de santé de la Pac. Cet accord permet aux Etats membres de faire des choix en vue de redistribuer les aides découplées de la production (DPU) entre les secteurs de production.
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