Doux a prévenu jeudi lors d'une conférence de presse qu'il n'aurait d'autre choix que de réduire la rémunération des éleveurs ou son activité en France si les distributeurs refusent les hausses des prix demandés par le groupe volailler à la suite de l'augmentation du prix de l'aliment.
« La situation est devenue intenable, a affirmé Guy Odri, le directeur général délégué du groupe, qui réclame une hausse de 15 % des prix de la volaille à l'occasion des négociations en cours avec la grande distribution. Je ne mets pas tout le monde dans le même panier : [...] trois enseignes nous ont opposé un non catégorique », refusant de les citer.