Publié le vendredi 09 mai 2008 - 18h01
La victime du préjudice causé par le mur a intenté une action à l’encontre des anciens indivisaires alors que le partage avait eu lieu.
Les terres de Jean s’arrêtent au surplomb de la propriété de Claude. C’est un surplomb d’importance puisqu’un mur de pierres sèches soutient et délimite les terres de Jean par rapport à celles de Claude. Miné par les eaux, négligé dans son entretien, le mur a d’abord fait «le ventre», puis s’est effondré, entraînant des cataractes...
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