A l'occasion du G8 présidé par la Grande-Bretagne, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le président des États-Unis, Barack Obama, ont officiellement lancé les discussions sur un ambitieux accord bilatéral de commerce et d'investissement.
« Au-delà de l'obtention par la France de l'exception culturelle dans le mandat donné à la Commission européenne, la FNSEA rappelle, mardi dans un communiqué, que les enjeux de cette négociation sont extrêmement importants pour l'agriculture européenne et plus particulièrement française. »
« Bien évidemment la production agricole américaine entend s'ouvrir largement les parts de marché européen, déjà premier marché d'importation au monde. Et ce au prix de notre traçabilité sanitaire, de nos appellations d'origine, du bien-être animal, de l'interdiction d'utilisation des hormones... », explique le syndicat.
« En un mot, ce sont nos préférences collectives, notre choix de société qui sont en cause, et cela au moment où le repas à la française vient d'être inscrit au patrimoine de l'Unesco ! »
Aussi, la FNSEA « sera particulièrement vigilante sur l'évolution de ces négociations ». « Nous ne pouvons accepter une harmonisation à la baisse de la qualité et des prix de nos produits. Cependant, l'agriculture doit rester un secteur associé à la négociation, mais un secteur reconnu et défendu par l'Union européenne pour son excellence et ses contributions essentielles à l'économie, l'emploi et l'animation de tous les territoires. »
popey16
mardi 18 juin 2013 - 21h26
on protege le cinema au detriment de l agriculture.nous ne pourrons pas soutenir la concurence americaine avec tous les contraintes ecologiques qui nous sont imposees .l agroecologie n est pas en vogue aux usa ce qui compte c est la rentabilite avec ogm atrazine cruiser boeuf aux hormones poulets au chlore pas de verdissement de l assolement pas de taxe carbone transports .nous sommes les rois du redressement improductif il serait preferable de leur demander un second plan marshall comme en 1945 pour remettre notre economie en route.