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Crise européenne

La situation grecque pèse sur les résultats du Crédit Agricole

Publié le jeudi 10 novembre 2011 - 18h49

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Le groupe bancaire Crédit Agricole SA a annoncé le 10 novembre 2011, une chute de son bénéfice net part du groupe de 65 % au troisième semestre sur un an à 258 millions d'euros, marqué par une importante provision en raison d'une dépréciation de ses obligations souveraines grecques.

 

Le groupe a également indiqué avoir diminué de 21 % son exposition aux dettes souveraines de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, de l'Irlande et de la Grèce entre la fin de juin et la fin de septembre, soit une réduction de 2,6 milliards d'euros.

 

Sur le plan opérationnel, la banque de proximité fait preuve de dynamisme. Sur un an, les encours de crédit des caisses régionales ont progressé de 5,4 % à la fin de septembre. Ceux des prêts à l'habitat ont inscrit une hausse de 7,1 % et ceux des crédits aux entreprises de 5,9 %. La collecte a elle aussi progressé sur cette période, portée par l'épargne de bilan (livrets et comptes à terme), qui permet au groupe d'accroître ses liquidités.

 

Au total, le produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d'affaires) ressort en progression de 6,2 % sur un an à 5,3 milliards d'euros.

 

 

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Les commentaires de nos abonnés (1)
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LES DISEUX ET LES FAISEUX

vendredi 11 novembre 2011 - 10h20

On ne prête pas aux cigalles...Les régles du jeu ont toujours été ainsi. Belle Europe qui pour éviter la guerre efface les ardoises et on n'a pas fini...Alors politique des faibles ou politique des forts, il est temps de revenir vers des politiques réalistes. Il y a la Gréce et tous les autres pays qui trainent des casseroles; tous ces pays qui sont rentrés dans l' Europe "les mains tendues"...Leur pauvreté a bien arrangé nos industriels qui se sont vite empressés d'aller là bas pour les faire bosser "pour la croute"... C'est ainsi que l'on a préparé la France des cigalles et des loisirs...Ainsi, le boulot est parti à l'étranger; nous voici avec nos dettes et nos chomeurs pour pleurer...Il faut remettre à la tête de l'Etat des rats des champs et non des rats des villes...Des faiseux et non des diseux...
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