accueil  Accueil / Actualités / Irrigation : Nicolas Sarkozy promet une adaptation pour le bassin Adour-Garonne

Irrigation

Nicolas Sarkozy promet une adaptation pour le bassin Adour-Garonne

Publié le mercredi 16 mars 2011 - 17h55

    • agrandirla taille du texte
    • reduire la taille du texte
    • imprimer



Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a été interpellé par les agriculteurs sur la question des restrictions de prélèvements d'eau pour l'irrigation, mardi, lors de la table ronde sur la situation et l'avenir de l'agriculture, à Lauzerte, lors de la visite dans le Tarn-et-Garonne.

 

Le chef de l'Etat a bien voulu reconnaître « qu'il y a quelque chose qui ne va pas » dans l'application de la loi sur l'eau avec le décret de 2007.

 

« Il y a dix ou quinze départements qui sont dans une situation où ça mettrait en cause les exploitations », a affirmé Nicolas Sarkozy, ajoutant que le préfet allait s'occuper du dossier, avec les ministres de l'Agriculture, Bruno Le Maire, et de l'Ecologie, Nathalie Nathalie Kosciusko-Morizet.

 

« On va trouver une adaptation pour le bassin. Je le promets. C'est un engagement que je prends. C'est un sujet où je veux éviter à tout prix les postures et les positions de principe », a ajouté le président de la République.

 

Auparavant, les agriculteurs participant à la table ronde avaient qualifié d'« aberrant » ou de « stupidité absolue », le décret d'application de la loi sur l'eau de 2007, qui fait que les prélèvements d'eau pour l'irrigation sont fixés à l'avance, sans tenir compte de la situation hydrologique réelle, ce qui va « condamner beaucoup d'exploitations ».

 

 

 


Les commentaires de nos abonnés (1)
Connectez-vous pour réagir

LA GESTION DE L EAU NE DATE PAS D HIER

jeudi 17 mars 2011 - 19h48

Il y a 20 ans, on savait déjà que 50% de la pluviométrie repartait à la mer. Les années 1990 devaient être propices aux retenues collinaires. le sud ouest contrairement à la beauce comporte un relief relativement favorable aux retenues... quoi de plus "sensé" que de retenir les excés d'eau pluviale pour les stocker et les restituer en périodes séches... C'est l'intelligence même d'une démarche de gestion de l'eau et non une accusation de gaspi simpliste dont certains citoyens accusateurs ont montré du doigt ces vilains "agriculteurs-irrigants". L'eau, c'est la vie et sans eau en sols secs et en période de sécheresse, toutes les plantes sans exception ont vite perdu 30-50% de leur potentiel... Alors l'agriculteur sans rendement travaille pour "rien"... Qui pourra supporter de tesl "aléas"...
commentaires agriculteurs

berber40
Voir son profil

Fonctionnalité réservée aux abonnés

Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole.

Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.

Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :

Dernières Actualités
A lire également
Archives agricoles


SERVICES EXPERTS

>Première inscription

Je suis déjà inscrit :
Mon identifiant :
Mon mot de passe :  
| Aide |
puce Identifiants oubliés ?
puce Toutes les offres d'abonnement
> Feuilletez un ancien numéro

SONDAGE

Santé animale : avez-vous enregistré des cas d'antibiorésistance dans votre élevage ?

> Tous les Sondages
Les sujets
LES PLUS LUS

Archives de
La France Agricole

Recherchez

dans les archives de la France Agricole et

Feuilletez

les numéros depuis 2004

Suivez La France Agricole :
la France Agricole sur Facebook La France Agricole sur twitter La France Agricole sur Google +

Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles

> Découvrir nos Offres

Les publications du Groupe France Agricole
En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies afin de nous permettre d’améliorer votre expérience utilisateur. En savoir plus et paramétrer les traceurs. OK