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Lait bio 

Définir un projet commun entre producteurs et laiteries avec la contractualisation (Fnab)

Publié le vendredi 15 avril 2011 - 16h10

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La Fédération nationale d'agriculture biologique (Fnab) s'est prononcée pour une « contractualisation collective et partenariale », dans la filière du lait bio, jeudi, dans un communiqué.

 

« Alors que la filière laitière connait actuellement de profonds changements », l'organisation affirme que la contractualisation « doit intégrer les principes fondamentaux de l'agriculture biologique, respecter les deux parties signataires, et proposer un projet commun ».

 

Un projet qui « pourrait être celui de produits laitiers biologiques français et équitables », précise la Fnab.

 

Lors de trois séminaires interrégionaux organisés ces derniers mois, les éleveurs laitiers bio et en conversion « ont réaffirmé leur volonté d'être pleinement acteurs » de la construction de la filière, en partenariat avec les différents intervenants de l'aval, explique-t-elle.

 

« Pour ce faire, ils se mobilisent et s'organisent. Des associations ou syndicats de vente se sont créés, et le mouvement se poursuit et se consolide. Ils veulent que ces structures soient un lieu de concertation et de négociation collective entre éleveurs biologiques et laiteries. »

 

« Selon eux, il ne s'agit pas de rentrer dans une relation conflictuelle et concurrentielle, mais plutôt de créer de nouveaux rapports commerciaux basés sur le respect et l'équité. La contractualisation est une étape pour poser les bases d'un partenariat avec les laiteries autour de la bio », poursuit la Fnab.

 

« L'acte commercial dont il est question dans la contractualisation doit être l'aboutissement de ce partenariat », précise-t-elle.

 

La Fnab veut aussi que plusieurs points soient pris en considération : les besoins des producteurs, en lien avec les performances environnementales et sociales de leurs pratiques agricoles bio, les coûts afférents et les spécificités de production (comme une plus faible production en cas d'accidents climatiques).

 

L'organisation souhaite en outre que les distributeurs puissent être intégrés dans la démarche de contractualisation.

 

 

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