Les surfaces seraient stables en 2010 en comparaison de 2009 dans les principaux pays européens producteurs de pommes de terre. « L'augmentation de surfaces en Belgique (au moins 5 %, estimation non officielle) est entièrement compensée par la diminution dans les autres pays comme la Grande-Bretagne », explique le NEPG, l'Association des producteurs de pommes de terre du nord-ouest de l'Europe.
Le NEPG qui représente les producteurs des principaux pays producteurs de pommes de terre en Europe (Allemagne, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Belgique et France) fait part « d'une situation au champ marquée par la sécheresse dans les cinq pays membres. Les cultures de variétés hâtives ont au moins deux semaines de retard et les rendements moyens seront plus faibles que la normale ».
« Il est par contre trop tôt pour pouvoir tirer des conclusions sur les rendements des variétés de conservation, mais la sécheresse et les (très) hautes températures mènent à de grandes inquiétudes sur la qualité », ajoute l'association.