« La préservation des terres agricoles doit devenir une cause nationale et européenne. Elle doit être transcrite dans l'ensemble des politiques publiques avec des outils et des cadres renouvelés », ont déclaré Brigitte Allain, députée de la Dordogne, et Catherine Grèze, eurodéputée, lors du colloque « Terres nourricières, réservoirs d'emploi ? Des terres agricoles, pour qui ? Pour quoi faire ? ».
Ce colloque organisé par le groupe écologiste de l'Assemblée nationale, le 19 décembre 2013, a réuni près de 200 personnes, parlementaires, élus régionaux et des collectivités locales urbaines et rurales, représentants syndicaux et associatifs de consommateurs, environnementalistes et de développement.
Les débats ont mis en avant la nécessité de politiques foncières « audacieuses et volontaristes », à tous les échelons, « pour rompre avec les logiques d'accaparement, d'agrandissement et d'artificialisation des terres ». Le groupe Europe Ecologie-Les Verts a proposé un cadre institutionnel, tel les contrats alimentaires territoriaux, pour conforter les collectivités locales dans cette compétence alimentaire.
popey16
samedi 21 décembre 2013 - 16h44
*la terre agricole est un bien sacre qui doit etre reserve pour l alimentation des populations ainsi qu une source importante d emplois pour leur mise en valeur et l industrie agroalimentaire qui en decoule.les agriculteurs francais sont dans les meilleurs du monde il produisent des produits de haute qualite en quantite a un prix souvent a la limite de la rentabilite. malheureusement ils sont contraint a des mesures ideologiques environnementales qui decouragent les jeunes et les orientent vers la fonction publique plus securitaire.le principe de precaution bloque le progres et alourdis les prix de revient ce qui favorise nos concurents.par exemple le poulet bresilien sera toujours moins cher.