accueil  Accueil / Actualités / Photovoltaïque : la Coordination rurale dénonce les « contraintes » que veut imposer l'Administration

Photovoltaïque

La Coordination rurale dénonce les « contraintes » que veut imposer l'Administration

Publié le vendredi 04 mars 2011 - 16h50

    • agrandirla taille du texte
    • reduire la taille du texte
    • imprimer

Les nouvelles propositions de l'Administration pour la régulation du secteur photovoltaïque « deviennent d'une telle contrainte pour les porteurs de projets qu'on peut se demander si elle n'a pas décidé de tuer dans l'œuf ce qu'elle vient de concevoir », a déploré la Coordination rurale, dans un communiqué.

 

Les ministres de l'Ecologie, de l'Economie et de l'Agriculture ont récemment précisé le futur cadre de régulation, avec notamment une limitation de la puissance installée chaque année sur le territoire, une baisse des tarifs de rachat de l'électricité avec révision trimestrielle, et le lancement d'appels d'offres pour les projets les plus importants.

 

« Alors que de grands espoirs avaient été fondés sur l'énergie solaire, (...) il était assez légitime que les agriculteurs s'intéressent à cette production. Certains secteurs comme l'élevage disposent de bâtiments et de terrains qui auraient pu servir de supports à ces projets solaires », explique la Coordination rurale.

 

« Sachant que l'instruction des projets s'échelonne sur une période de deux ans, certains agriculteurs ont dû engager financièrement des frais d'études et de dossiers pour lesquels ils ne donneront aucune suite en raison des nouveaux barèmes de rachat », poursuit-elle.

 

« Devant autant d'irresponsabilité et d'incompétence », le syndicat appelle « les agriculteurs à redoubler de méfiance à l'égard des appâts subventionnés et des propositions contractuelles qui fleurissent ».

 

 

Lire également :

 


Les commentaires de nos abonnés (2)
Connectez-vous pour réagir

projet avorte

vendredi 04 mars 2011 - 18h22

bjr, j'avais un projet, courant 2009. sachant que des modifications allaient intervenir avant que ce projet ne voit le jour, j'ai préféré attendre. c'était un projet de 400 à 500 000 €. que je vais économiser, car avec les tarifs actuels, non seulement au bout de 20 ans, je n'aurai pas de retour sur investissement, mais en plus, les frais seront supérieurs aux rentrées. VIVE LE PETROLE ET LE NUCLEAIRE.
commentaires agriculteurs

michel..77
Voir son profil

Fonctionnalité réservée aux abonnés

Le commentaire d'article est réservé aux abonnés de La France Agricole.

Si vous êtes abonné, identifiez-vous dans le bloc "services experts"
situé en haut à droite de la page.

Si vous voulez vous abonner et profiter de tous les contenus du site ainsi que de l’édition papier de La France Agricole, cliquez sur le lien ci-dessous :

Dernières Actualités
A lire également
Archives agricoles


SERVICES EXPERTS

>Première inscription

Je suis déjà inscrit :
Mon identifiant :
Mon mot de passe :  
| Aide |
puce Identifiants oubliés ?
puce Toutes les offres d'abonnement
> Feuilletez un ancien numéro

SONDAGE

Santé animale : avez-vous enregistré des cas d'antibiorésistance dans votre élevage ?

> Tous les Sondages
Les sujets
LES PLUS LUS

Archives de
La France Agricole

Recherchez

dans les archives de la France Agricole et

Feuilletez

les numéros depuis 2004

Suivez La France Agricole :
la France Agricole sur Facebook La France Agricole sur twitter La France Agricole sur Google +

Nos offres d'abonnement
simples ou couplées,
à nos publications
hebdomadaires
et mensuelles

> Découvrir nos Offres

Les publications du Groupe France Agricole
En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies afin de nous permettre d’améliorer votre expérience utilisateur. En savoir plus et paramétrer les traceurs. OK