Tendances céréales
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A l'approche de la clôture mardi sur Euronext, le contrat blé novembre 2014 valait 173 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 150,75 €/t (- 1,25 €/t).
A l'approche de la clôture mardi sur Euronext, le contrat blé novembre 2014 valait 173 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 150,75 €/t (- 1,25 €/t).
Les céréales européennes reculent mardi dans un marché calme suivant la tendance donnée par Chicago. Dans les échanges électroniques précédant l'ouverture, les cours du blé et du maïs américains continuaient à diminuer face à des pluies jugées favorables pour les cultures outre-Altantique.
En France, les semenciers français ont tenu à rassurer quant à la disponibilité des semences de céréales à paille pour les récoltes à venir. La maîtrise des process combinée à l'augmentation des surfaces de production de semences de céréales à paille permettent, cette année encore, de sécuriser la mise en place des prochaines cultures, d'après l'Union française des semenciers (UFS).
Du côté de la demande, l'Égypte a passé un nouvel appel d'offres pour l'achat de blé à livrer fin septembre. Les blés origines mer Noire demeurent les moins chers pour répondre aux appels d'offre internationaux.
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mardi 26 août 2014 - 18h38
Vers 18h sur Euronext, le contrat blé novembre 2014 valait 173,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 152 €/t (- 0,75 €/t).
Vers 18h sur Euronext, le contrat blé novembre 2014 valait 173,25 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 152 €/t (- 0,75 €/t).
Les investisseurs surveillent attentivement l'évolution de la crise en Ukraine mais le risque est déjà largement intégré dans les prix.
Etant donné les bonnes perspectives au niveau mondial pour les céréales provoquant la baisse des prix, les troubles politiques entre la Russie et l'Ukraine offrent quelques rebonds ponctuels.
Toutefois, l'activité export de la zone mer Noire reste toujours soutenue en ce début de campagne, nullement pénalisée par les conflits dans la zone Est de l'Ukraine.
En parallèle, le gouvernement russe table sur une hausse de ses exportations de céréales sur la campagne agricole en cours, jusqu'à 27 millions de tonnes, grâce à l'abondante moisson attendue, a indiqué vendredi le ministre de l'Agriculture.
La Russie, l'un des principaux fournisseurs des marchés internationaux de céréales, a exporté 25,4 millions de tonnes lors de la dernière campagne agricole (juillet 2013-juin 2014 inclus).
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lundi 25 août 2014 - 18h21
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. Vers 16h30, le contrat blé novembre 2014 valait 172,25 €/t (+ 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 153 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. Vers 16h30, le contrat blé novembre 2014 valait 172,25 €/t (+ 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 153 €/t (- 0,25 €/t).
Les cours du blé européen s'étaient orientés en légère hausse vendredi à la mi-journée, tirés par le rebond technique du marché américain. « La parité euro-dollar aide également, ainsi que des prévisions météo légèrement sèches aux Etats-Unis », a commenté Edward de Saint-Denis (courtage Plantureux et Associés).
La France a dû cette semaine acheter du blé britannique et lituanien pour pallier la mauvaise qualité de sa récolte et pouvoir ainsi fournir ses grands clients étrangers, au Maghreb et en Afrique de l'Ouest notamment. Pour l'instant, ces achats doivent servir à améliorer la qualité des cargaisons de blé exportées, et non pour la consommation intérieure française. Au vu du petit volume (moins de 35.000 tonnes au total), il s'agit pour l'instant surtout d'un « symbole illustrant les problèmes qualitatifs enregistrés par la production française cette année », estime Agritel.
La France a exporté la semaine passée 150.000 tonnes de blé, selon Bruxelles. L'UE atteint près de 600.000 tonnes, soit 3,15 millions de tonnes exportées depuis le début de la campagne 2014/2015. De manière générale, « on observe un rythme à l'export assez réduit » dans l'UE, très concurrencée par les pays de la mer Noire, remarque Agritel.
En Chine, la future récolte de maïs pourrait être revue à la baisse à cause de la sécheresse, en particulier dans le Nord et le Nord-Est, rapporte le cabinet Inter-Courtage.
En France, sur le marché physique, blé et maïs étaient stables à la mi-journée.
La Russie table sur une hausse de ses exportations
Le gouvernement russe table sur une hausse de ses exportations de céréales sur la campagne agricole en cours, jusqu'à 27 millions de tonnes (Mt), grâce à l'abondante moisson attendue, a indiqué vendredi le ministre de l'Agriculture.
« Le potentiel d'exportation cette année se situe entre 25 et 27 Mt », a déclaré le ministre, Nikolaï Fiodorov, cité par les agences de presse russes. L'estimation officielle précédente était de 25 Mt. La Russie, l'un des principaux fournisseurs des marchés internationaux de céréales, a exporté 25,4 Mt lors de la dernière campagne agricole (juillet 2013-juin 2014 inclus).
La récolte de céréales s'annonce cette année en nette hausse, « à au moins 100 Mt », selon M. Fiodorov, contre 92,4 Mt en 2013, qui était déjà une bonne année. Cette prévision comprend la Crimée, péninsule ukrainienne rattachée à la Russie en mars, où la production agricole, surtout de blé, dépasse 1,2 Mt.
Selon les derniers chiffres du ministère de l'Agriculture, les agriculteurs russes ont récolté, au 22 août, 70,1 Mt correspondant à 50,9 % des surfaces semées. Cela représente un rendement de 29,6 q/ha contre 25,1 q/ha l'an dernier. Dans le détail, 45,5 Mt de blé et 15,2 Mt d'orge ont été engrangées. ...
vendredi 22 août 2014 - 16h51
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat blé novembre 2014 valait 171,75 €/t (+ 0,50 €/t), le maïs même échéance s'échangeant 153 €/t (+ 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat blé novembre 2014 valait 171,75 €/t (+ 0,50 €/t), le maïs même échéance s'échangeant 153 €/t (+ 0,25 €/t).
Les cours des céréales européennes ont été uniquement soutenus, jeudi, par la baisse de l'euro face au dollar. « Le marché reste dominé par une pression baissière dans la perspective de récoltes abondantes notamment en céréales fourragères », analyse Agritel dans une note. En maïs notamment, les rendements s'annoncent très bons dans l'hémisphère nord, comme le confirme la tournée d'inspection des champs en cours aux Etats-Unis.
Par ailleurs, l'euro peine à se reprendre face à un dollar qui reste porté par la diffusion de minutes de la Réserve fédérale américaine (Fed) signalant un possible relèvement anticipé des taux d'intérêt. Dans la nuit de mercredi à jeudi, la monnaie européenne est tombée à 1,3242 dollar, son niveau le plus faible depuis près d'un an.
Malgré une parité monétaire favorable, la France « a du mal à se placer à l'export car on est cher », estime Edward de Saint-Denis (Plantureux et Associés). Les derniers achats internationaux ont d'ailleurs profité au blé américain, dont 100.000 tonnes ont été vendues à la Jordanie et le même volume à Taïwan.
En France, sur le marché physique, maïs et orge étaient stables à la mi-journée tandis que le blé perdait 1 €/t.
Les Etats-Unis ont réalisé de bonnes exportations de maïs au cours de la semaine achevée au 14 août, mais les ventes de blé déçoivent les attentes des investisseurs. Près de 100.000 tonnes de maïs issus de la récolte 2013/2014 ont été commandées par des pays étrangers, et plus de 800.000 tonnes en prévision de la récolte 2014/2015, selon les chiffres hebdomadaires du ministère américain de l'Agriculture (USDA), parus jeudi. Pour 2013/2014, la Chine a néanmoins annulé d'importants volumes de commande, à hauteur d'au moins 60.000 tonnes. Plus de 250.000 tonnes ont aussi été annulées par des acheteurs « inconnus », un terme qui recouvre en fait fréquemment des sociétés écran utilisées par la Chine. En revanche l'Egypte, la Corée du Sud, la Colombie, le Mexique et le Japon, ont passé commande.
En blé, les scores américains sont décevants, avec seulement 200.000 tonnes vendues au titre de la récolte 2014-2015, en recul de près de 40 % par rapport à la semaine précédente. Les investisseurs espéraient au moins 350.000 tonnes de commandes. Plus de 100.000 tonnes ont été annulées par le Brésil, le Pérou et des acheteurs « inconnus ». Plus de 530.000 tonnes ont été expédiées vers les Philippines, le Pérou, le Nigeria, le Japon, le Mexique et l'Equateur. ...
jeudi 21 août 2014 - 17h46
Les prix des céréales reculaient, mercredi sur Euronext. Vers 16h00, le contrat blé novembre 2014 valait 171,75 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 152,75 €/t (- 1 €/t).
Les prix des céréales reculaient, mercredi sur Euronext. Vers 16h00, le contrat blé novembre 2014 valait 171,75 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 152,75 €/t (- 1 €/t).
« La situation en Ukraine reste surveillée de très près, mais aujourd'hui ce qui joue c'est surtout la parité euro-dollar, qui nous empêche de perdre notre compétitivité », explique à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. L'euro est repassé, à la mi-journée, sous 1,33 dollar.
Les inquiétudes sur l'Ukraine empêchent aussi le prix du blé de descendre en dessous des 170 euros la tonne car « les opérateurs craignent que le conflit ne s'aggrave » dans ce pays, troisième exportateur mondial de maïs et sixième de blé, explique Agritel. Dans les provinces de l'Est (Lougansk et Donetsk), touchées par des combats qui entravent la moisson, le gouvernement « table sur une perte de 15 % de la production de céréales », affirme Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage. Moins de 3 millions de tonnes (Mt) de céréales ont été récoltées dans ces régions pour l'instant, contre 3,5 Mt l'an dernier, selon lui.
En maïs, « les marchés restent globalement pénalisés par les perspectives de récoltes abondantes aux Etats-Unis », explique encore Agritel. La tournée d'inspection en cours dans le Midwest laisse espérer des « rendements exceptionnels » pour cette céréale, ajoute le cabinet conseil.
En France, sur le marché physique, blé et orge étaient stables à la mi-journée. Le maïs perdait 1 €/t. ...
mercredi 20 août 2014 - 16h16
Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 172 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 153,75 €/t (+ 0,75 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 172 €/t (+ 0,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 153,75 €/t (+ 0,75 €/t).
L'Allemagne, deuxième producteur européen derrière la France, semble moins touchée par les problèmes de qualité du blé, même si les moissons ont souffert des pluies, comme dans l'Hexagone. Les blés allemands pourraient ainsi répondre « sans aucun problème aux débouchés habituellement français », estime Agritel, qui note d'ailleurs un intérêt croissant de l'Algérie pour le blé d'outre-Rhin.
Les investisseurs semblent par ailleurs temporairement rassurés sur la situation en Ukraine. Mais l'association ukrainienne des meuniers a demandé au gouvernement de « suspendre temporairement les exportations de blé meunier afin que ces meuniers puissent trouver dans le marché local les matières premières nécessaires à leur activité », rapporte Damien Vercambre de la société Inter-Courtage.
En maïs, « l'activité demeure calme sur la scène internationale, dans l'attente des récoltes de l'hémisphère nord », commente Agritel. Le marché surveille surtout une tournée d'évaluation des cultures de maïs et de soja aux Etats-Unis, qui a observé pour l'instant de « très bons » rendements, explique Arnaud Saulais de Starsupply Renewables.
En France, sur le marché de gré à gré, le blé perdait 1 €/t à la mi-journée alors que le maïs restait stable. ...
mardi 19 août 2014 - 18h07
Le prix du blé a reculé, lundi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat novembre 2014 valait 171,75 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 153,75 €/t (- 0,75 €/t).
Le prix du blé a reculé, lundi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat novembre 2014 valait 171,75 €/t (- 2 €/t), le maïs même échéance se négociant 153,75 €/t (- 0,75 €/t).
Les cours des céréales européennes ont reculé, lundi, effaçant les gains enregistrés vendredi grâce aux tensions en Ukraine, grand pays exportateur, et pâtissant de la très bonne récolte annoncée en Russie.
Les investisseurs semblent un peu rassurés au lendemain d'une réunion à Berlin entre les chefs de la diplomatie russe, ukrainienne, française et allemande, alors qu'Euronext avait enregistré vendredi « un rebond en blé dans un volume d'échanges de plus de 18.000 lots », rappelle Agritel dans une note.
Les cours souffrent aussi des bonnes prévisions de récolte en Russie, qui « ajoutent de la pression au marché mondial du blé » alors que l'offre est déjà abondante, remarque Arnaud Saulais (Starsupply Renewables). Les agriculteurs russes ont déjà récolté à la mi-août 62,1 millions de tonnes (Mt) de céréales, soit 25 % de plus qu'à la même date l'an dernier, annonçait vendredi le ministère de l'Agriculture russe. La Russie, l'un des premiers exportateurs mondiaux de céréales, espère une récolte dépassant les 100 Mt cette année, contre 92 Mt en 2013 qui constituait déjà une bonne année.
Globalement, le marché européen est « très calme car beaucoup d'opérateurs sont en vacances », note Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.
En maïs, « le potentiel se dégrade sur la Mer Noire », indique l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. « Après bientôt un mois de fortes chaleurs, sans pluies, les potentiels de productions se dégradent en Ukraine (centre et est), ainsi qu'en Russie. Ces conditions défavorables pour les maïs de la Mer Noire pénalisent localement les rendements. Des ajustements qui ne semblent pas avoir été intégrés dans le dernier rapport USDA qui n'apporte pas de correction par rapport au mois dernier, avec notamment un potentiel de 27 Mt sur l'Ukraine. Notons également que les tensions entre l'Ukraine et la Russie restent vives. A l'approche des récoltes, l'approvisionnement de l'Ukraine en gaz, indispensable au séchage, reste incertain », souligne l'AGPM. ...
lundi 18 août 2014 - 18h16
Le prix des céréales a légèrement reculé, jeudi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat maïs novembre 2014 valait 153,25 €/t (- 0,75 €/t), le blé même échéance se négociant 170,50 €/t (- 0,75 €/t).
Le prix des céréales a légèrement reculé, jeudi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat maïs novembre 2014 valait 153,25 €/t (- 0,75 €/t), le blé même échéance se négociant 170,50 €/t (- 0,75 €/t).
Les cours des céréales européennes se sont affichés en petite baisse, jeudi, en raison de l'absence de nombreux opérateurs et surtout de tout signal susceptible de faire bouger le marché.
Le maïs continue de digérer les révisions à la hausse du rapport américain (USDA) de mardi sur les prévisions de récolte mondiale.
Sur le marché physique français, les prix du blé, de l'orge et du maïs restent inchangés, faute d'opérateurs à l'œuvre à la veille d'un long week-end et alors que les dernières récoltes s'effectuent doucement entre les pluies. Ainsi, en Allemagne, les précipitations toujours importantes « suscitent de nombreuses interrogation chez les opérateurs alors qu'est attendue une hausse de la production de blé tendre de l'ordre de + 5 % », rapporte Agritel.
Sur le marché mondial, la Russie a atteint des records à l'exportation de céréales en juillet avec 3,12 millions de tonnes (Mt), contre 2,53 Mt en juillet 2013. Le blé a constitué la majorité des chargements, avec 2,67 Mt. Depuis le début d'août, le rythme reste soutenu, avec 1,33 Mt supplémentaires.
La qualité du blé russe - alors que celle de l'Europe occidentale, dont la France, fait question - profite aux producteurs russes. Le pays, précise Agritel, serait en mesure d'exporter 3,6 Mt au cours du mois, ce qui porterait à près de 6 Mt le cumul pour les deux premiers mois de la campagne 2014/2015.
L'Ukraine, qui a accéléré ces dernières semaines les chargements en raison des tensions croissantes avec son puissant voisin, avait chargé 1,8 Mt de céréales - dont une majorité d'orge - à la fin juillet. ...
jeudi 14 août 2014 - 14h53
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