Tendances céréales
Les dernières tendances sont réservées aux abonnés
Pour y accéder, identifiez-vous dans le bloc "services experts" situé en haut à droite du site, et rendez-vous dans les cours et marchés
Si vous avez des problèmes de connexion, consultez l'aide.
Si vous n'êtes pas abonné, vous pouvez consulter nos offres.
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext, après leur plongeon de la veille. Vers 17h30, le contrat blé novembre 2014 valait 171 €/t (+ 0,50 €/t) tandis que le maïs même échéance se négociait 153,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext, après leur plongeon de la veille. Vers 17h30, le contrat blé novembre 2014 valait 171 €/t (+ 0,50 €/t) tandis que le maïs même échéance se négociait 153,50 €/t (+ 0,50 €/t).
Vu la mauvaise qualité de la récolte française, dégradée par les pluies, les investisseurs craignent que la coopérative Sénalia, propriétaire du silo à Rouen qui fait office de point de livraison des contrats passés sur Euronext, ne révise à la baisse ses critères de qualité pour accepter le blé, analyse Damien Vercambre (Inter-Courtage). Cela permettrait aux agriculteurs qui ont récolté un blé de moindre qualité de pouvoir le livrer, mais ferait baisser la valeur du contrat blé sur Euronext, puisqu'il serait associé à un blé de qualité moyenne, explique M. Vercambre à l'AFP.
Pour Edward de Saint-Denis (courtage Plantureux et Associés), le contrat sur Euronext reflète donc de plus en plus « un blé fourrager », utilisable pour l'alimentation animale mais pas en meunerie, où les exigences de qualité sont plus grandes. « Cela peut créer un vrai problème sur l'avenir du marché à terme », estime-t-il. « Derrière ce débat très technique, la question est : comment réussir à valoriser nos blés ? Comment vont réagir nos clients ? », résume Damien Vercambre, qui dit recevoir de nombreux appels d'importateurs ces jours-ci, inquiets sur la qualité. La situation en France, et plus largement en Europe de l'Ouest, pourrait bénéficier aux blés russes et américains, qui n'ont pas de problèmes de qualité, estime-t-il.
En parallèle, « l'augmentation des volumes fourragers pèse fortement sur le marché du maïs », constate Agritel. Au niveau mondial, « les très bonnes perspectives de production (...) fragilisent davantage le marché », ajoute le cabinet conseil. Le Conseil international des grains a revu à la hausse, jeudi, ses prévisions de production pour le blé et le maïs en 2014/2015.
En France, sur le marché physique, blé et orge perdaient 3 €/t à la mi-journée, alors que le maïs restait stable.
...
vendredi 01 août 2014 - 17h30
Le prix du blé a décroché, jeudi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat novembre 2014 valait 171 €/t (- 4,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 154,25 €/t (- 1,25 €/t).
Le prix du blé a décroché, jeudi sur Euronext. Vers 17h30, le contrat novembre 2014 valait 171 €/t (- 4,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 154,25 €/t (- 1,25 €/t).
Les cours des céréales européennes ont chuté jeudi à cause des inquiétudes sur la qualité de la récolte de blé, qui rendent moins attractif le blé coté sur Euronext, dont les contrats ne sont pas assortis de critères de qualité. « Le problème de qualité met la pression sur le marché malgré l'euro qui baisse et les volumes qui sont au rendez-vous », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage de Plantureux et Associés.
« Les récentes pluies en France mais également en Allemagne et dans le centre de l'Europe ne font que renforcer les craintes d'une augmentation de la proportion de blés fourragers récoltés cette année », analyse Agritel, qui souligne que ce sont pour l'instant les blés russes qui profitent des problèmes de qualité en Europe de l'Ouest. L'Egypte, 1er importateur mondial de blé, vient d'ailleurs d'en acheter 175.000 tonnes à la Russie, à l'issue de son dernier appel d'offres mercredi. Plus de 205.000 tonnes de blé américain ont par ailleurs été vendues au Nigeria.
Le maïs subit par ricochet les conséquences de la mauvaise qualité du blé. Le blé dégradé par les pluies n'est plus de qualité meunière mais seulement fourragère, ce qui accroît le volume de céréales uniquement destinées à l'alimentation du bétail sur le marché. « Les cours des céréales fourragères (...) demeurent sous la pression d'une offre européenne abondante et de perspective de production record de maïs aux Etats-Unis », commente Agritel.
En Ukraine, 3e exportateur de maïs au monde, le centre d'hydrométéorologie estime que la production de maïs pourrait baisser de 6 %, « non pas du fait de conditions ou de perspectives météo mauvaises, mais du fait du conflit à l'Est », rapporte Damien Vercambre (Inter-Courtage).
Les Etats-Unis ont réalisé de bonnes exportations de céréales au cours de la semaine achevée au 24 juillet. Plus de 800.000 tonnes de blé ont été vendues à l'étranger en prévision de la campagne 2014/2015, en hausse de 80 % par rapport à la semaine précédente, selon les chiffres hebdomadaires du ministère américain de l'Agriculture (USDA).
La baisse des prix des céréales depuis le mois de mai, provoquée surtout par de très bonnes conditions météo favorables aux récoltes, incite depuis quelques semaines les pays importateurs à revenir aux achats. Le Nigeria a ainsi commandé près de 170.000 tonnes de blé aux Etats-Unis, suivi par le Panama, le Brésil, le Mexique, le Japon et les Philippines. Les chargements américains ont en revanche diminué d'un quart par rapport à la semaine précédente, à 420.000 tonnes, en direction de l'Asie et de l'Amérique du Sud.
Le maïs américain réalise une bonne performance sur les ventes issues de la future récolte 2014/2015, avec plus d'un million de tonnes commandées par le Mexique, des « destinations inconnues », la Colombie et le Costa Rica. Sur l'ancienne campagne 2013/2014, les ventes sont en revanche décevantes, à 174.000 tonnes (- 40 % par rapport à la semaine passée), contre au moins 300.000 tonnes attendues par le marché. Près de 700.000 tonnes ont été expédiées au Japon, au Mexique, en Corée du Sud et en Arabie Saoudite, entre autres.
...
jeudi 31 juillet 2014 - 17h48
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 176 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,75 €/t (+ 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 176 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,75 €/t (+ 0,50 €/t).
« Les marchés sont toujours confrontés aux problèmes qualitatifs » et « la concurrence des blés mer Noire se fait largement sentir, ce d'autant plus que ces origines affichent des critères qualitatifs et quantitatifs corrects », commente Agritel sur son site internet.
Du côté des échanges, l'Égypte, premier importateur de blé au monde, a de nouveau lancé un appel d'offres en vue d'un achat de blé en septembre, selon plusieurs courtiers. « Probablement que les origines mer Noire seront une nouvelle fois retenues », anticipe Agritel qui note par ailleurs « une certaine compétitivité cette année des origines anglaises, ce qui est assez inhabituel, le climat ayant été plus favorable cette année sur ce pays, à l'image de la région Bretagne en France pour les aspects qualitatifs ».
En France, sur le marché physique, les prix du blé, de l'orge et du maïs restaient stables à la mi-journée. ...
mercredi 30 juillet 2014 - 14h50
Le prix du blé a chuté, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 175,50 €/t (- 2,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,25 €/t (- 0,75 €/t).
Le prix du blé a chuté, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 175,50 €/t (- 2,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,25 €/t (- 0,75 €/t).
Les pluies récentes et celles de nouveau annoncées jusqu'à mercredi ont contraint à l'arrêt des travaux dans de nombreuses régions tandis que la qualité des blés suscite de nouvelles inquiétudes. Ainsi, au 25 juillet, environ 20 % du blé des départements de l'Essonne, des Yvelines et du Val-d'Oise étaient récoltés, « révélant quelques inquiétudes sur les poids spécifiques et les taux de protéines », indique Damien Vecambre (Inter-Courtage), citant la Chambre d'agriculture de l'Ile-de-France. Selon elle, « les standards de qualité exigés par la meunerie française pourraient être compliqués à remplir sur certains lots ».
La France n'est pas la seule concernée par une situation qui affecte toute l'Europe de l'Ouest (sauf l'Angleterre où la qualité reste bonne), ouvrant davantage encore un boulevard aux blés d'Europe de l'Est, redoutable concurrent qui affiche toujours de belles qualités exportables.
Aux Etats-Unis, le compte-rendu hebdomadaire de l'USDA sur l'état des cultures, publié lundi soir après la fermeture de Chicago, a montré que la part des maïs « bons à excellents » était toujours de 75 % au moment où la plante entre dans sa phase critique de pollinisation, « ce qui reste le meilleur chiffre depuis 2004 », observe Damien Vercambre.
Les cours du maïs ont rebondi, lundi à Chicago, dopés par des craintes liées à l'absence de prévisions de pluies dans le Midwest, alors que le blé a été pénalisé par l'anticipation de bons rendements de blé de printemps. « Le marché un peu déprimé du soja et du maïs a été ragaillardi par des craintes d'absence de précipitations sur des régions clef du Midwest », explique Steve Georgy, de la maison de courtage Allendale. « D'après les dernières prévisions pour les 15 prochains jours, il semble qu'il y aura très peu de pluies prochainement sur le Nebraska, l'Iowa, le Missouri notamment », ajoute-t-il.
...
mardi 29 juillet 2014 - 15h33
Les deux céréales ont divergé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 178,50 €/t (- 1,25 €/t) alors que le maïs même échéance se négociait 155,75 €/t (+ 0,75 €/t).
Les deux céréales ont divergé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 178,50 €/t (- 1,25 €/t) alors que le maïs même échéance se négociait 155,75 €/t (+ 0,75 €/t).
« Les chantiers de récolte sont une nouvelle fois stoppés en ce début de semaine en raison des pluies. Les craintes qualitatives vont refaire surface », prévoit Agritel dans une note qui relève de très grands écarts de prix en fonction des qualités de blé, jusqu'à 30 €/t. De nouvelles pluies sont prévues par Météo France pour mardi.
« Suite aux intempéries, des lots sont déclassés et les offres de blés fourragers se multiplient avec d'importantes décotes. Ainsi, le niveau d'incorporation de maïs par les fabricants d'aliments du bétail sera nettement influencé par la proportion de blé fourrager disponible », analyse l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire.
La Commission estime que la récolte européenne de blé devrait atteindre 137,5 millions de tonnes (Mt) cette année. Pour le maïs, elle a revu ses prévisions à la hausse, à 70,8 Mt.
En Ukraine, « le ministre de l'Agriculture estime que 500.000 à 550.000 tonnes de productions de céréales ont été perdues du fait du conflit dans l'Est », rapporte Damien Vercambre (Inter-Courtage).
Sur le plan commercial, la Turquie a acheté 165.000 tonnes de blé.
En France, sur le marché physique, le blé perdait 1 €/t à la mi-journée alors que le maïs restait stable.
Les prix des transports de matières premières sèches ont marqué de nouveaux plus bas la semaine dernière. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, vendredi 25 juillet, à 739 points - après être tombé mardi à 723 points, un nouveau plus bas depuis début janvier 2013, contre 732 points une semaine auparavant, son précédent niveau le plus faible.
Si le BDI a « chuté de 68 % depuis le début 2014, largement du fait de l'excédent de navires disponibles », cette baisse « semble excessive du fait des bonnes perspectives de la demande et l'offre de matières premières », estime Caroline Bain, analyste chez Capital Economics. Selon elle, « les prix des matières premières en vrac, en particulier le minerai de fer, le charbon et les céréales, ont nettement baissé au premier semestre. Ainsi, la demande devrait être stimulée par leurs prix plus accessibles ». ...
lundi 28 juillet 2014 - 17h14
Les prix des céréales s'affichaient en légère baisse, vendredi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat blé novembre 2014 valait 180,25 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,75 €/t (- 1 €/t).
Les prix des céréales s'affichaient en légère baisse, vendredi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat blé novembre 2014 valait 180,25 €/t (- 0,75 €/t), le maïs même échéance se négociant 155,75 €/t (- 1 €/t).
Les écarts de prix grandissent entre les différents types de blé, « avec des prix du blé de qualité qui ré-augmentent par rapport au blé fourrager après les orages de cette nuit », souligne Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés. « Les interrogations sur les qualités des blés encore non récoltés restent nombreuses en France comme en Europe centrale », après les pluies du début juillet et la sécheresse du printemps, explique Agritel, qui estime que ces problèmes pourraient peser sur les exportations « dans un contexte où les affaires seront conditionnées aux exigences des importateurs ». En revanche, les rendements semblent pour le moment « importants », précise le cabinet conseil.
Selon l'indicateur Céré'obs, diffusé vendredi par FranceAgriMer, 44 % des surfaces de blé tendre étaient moissonnées au 21 juillet, contre seulement 5 % la semaine précédente.
Côté maïs, « le marché demeure inscrit dans une tendance baissière avec des conditions climatiques qui restent idéales pour le développement des cultures, tant aux Etats-Unis qu'en Europe », rappelle Agritel. Les prix souffrent aussi d'une décision chinoise sur les importations de drêches de maïs américain (résidus issus de la distillation pour la fabrication de biocarburants), estime Damien Vercambre, d'Inter-Courtage. Pour reprendre les importations, suspendues après des soupçons de présence d'OGM non autorisés, Pékin va exiger « un certificat d'absence du (maïs OGM) MIR162 », rapporte M. Vercambre. Mais « il est hautement improbable que l'USDA (le ministère américain de l'Agriculture, ndlr) se mette à établir ce genre de certificat », estime-t-il.
En France, sur le marché physique, les prix restaient stables pour le blé à la mi-journée, et perdaient 1 €/t pour le maïs. ...
vendredi 25 juillet 2014 - 17h01
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. Vers 18h00, le contrat blé novembre 2014 valait 180,50 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 157 €/t (inchangé).
Les prix des céréales ont peu évolué, jeudi sur Euronext. Vers 18h00, le contrat blé novembre 2014 valait 180,50 €/t (+ 1 €/t), le maïs même échéance se négociant 157 €/t (inchangé).
Une nouvelle fois, l'Égypte a choisi des céréales originaires de la mer Noire plutôt que de l'Union européenne, en achetant 235.000 tonnes de blé pour des chargements début septembre venant de Russie, Roumanie et Ukraine, indique Agritel. Toutefois, « il n'y avait pas d'autres offres, ni françaises, ni américaines », rapporte Damien Vercambre, courtier chez Inter-Courtage.
Les ventes états-uniennes de maïs sur la campagne 2014/2015, rendues publiques jeudi par l'USDA, s'avèrent très supérieures aux attentes, avec 1,1 million de tonnes commandées par le Japon et le Costa Rica au cours de la semaine achevée le 17 juillet. En revanche, les ventes sur la récolte 2013/2014 chutent de presque 50 % par rapport à la semaine précédente, tout en restant dans la fourchette basse des attentes des investisseurs, à près de 300.000 tonnes. Parmi les acheteurs : le Japon, l'Espagne, la Corée du Sud et les Pays-Bas. Près d'un million de tonnes ont été effectivement exportées vers ces mêmes pays, ainsi que vers le Mexique, l'Egypte et le Costa Rica.
Le blé américain s'est plutôt bien vendu lui aussi la semaine dernière, avec environ 440.000 tonnes commandées sur la campagne 2014/2015 par le Japon, le Nigeria, Singapour et le Brésil, notamment. Quelque 550.000 tonnes ont pris la mer à destination du Brésil, de l'Indonésie, de Taïwan, du Mexique, du Japon et de Singapour.
En France, sur le marché physique, le blé et l'orge prenaient 3 €/t, jeudi à la mi-journée, tandis que le maïs évoluait en ordre dispersé en fonction des régions.
...
jeudi 24 juillet 2014 - 17h24
Le prix du blé a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 179,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 157,25 €/t (- 0,75 €/t).
Le prix du blé a progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 179,25 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 157,25 €/t (- 0,75 €/t).
Les cours du maïs se sont orientés à la baisse mercredi, tandis que ceux du blé montaient, les investisseurs recherchant du blé de qualité dans un marché qui en manque.
« Il y a beaucoup de blé fourrager servant à l'alimentation animale. Alors le blé de qualité se valorise très cher. D'autant qu'en maïs aussi, l'offre s'annonce abondante et la météo est favorable au bon développement des cultures. Donc le complexe fourrager ne cesse de monter », a commenté auprès de l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux & Associés.
En France, la sécheresse de l'hiver et du printemps dans certaines régions, et les pluies de début juillet, ont altéré la qualité des blés. « Une des questions qui taraude le marché concerne la qualité du blé qui pourra être livré », explique Damien Vercambre, courtier cher Inter-Courtage.
Sur la scène internationale, l'Égypte a passé un appel d'offres pour l'achat de blé à livrer début septembre. L'offre de blé origine mer Noire « semble la plus compétitive mais l'inconnue pourrait venir d'offres américaines, compétitives sur le papier, mais dont la qualité doit être validée », ajoute Damien Vercambre.
En France, sur le marché physique, le blé prenait 1 €/t à la mi-journée tandis que le maïs et les orges reculaient de 3 €/t. ...
mercredi 23 juillet 2014 - 15h42