Tendances céréales
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Les prix des céréales ont progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 191 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 177,75 €/t (+ 1,25 €/t).
Les prix des céréales ont progressé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 191 €/t (+ 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 177,75 €/t (+ 1,25 €/t).
Le marché européen du blé a rebondi mercredi, après plusieurs jours de baisse, sans modification particulière des fondamentaux.
Pour Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux, cette hausse correspond à une « consolidation à la suite des fortes baisses des derniers jours ». Le marché est en outre encouragé par l'appel d'offres de l'Algérie pour un chargement de blé et d'orge « qui seront vraisemblablement d'origine France », indique-t-il à l'AFP. L'Algérie a acheté la semaine dernière 700.000 tonnes de blé, rappelle-t-il encore.
En France, sur le marché physique, le blé et l'orge s'appréciaient de 1 €/t à la mi-journée, alors que le maïs restait stable. ...
mercredi 04 juin 2014 - 16h31
Les prix des céréales ont fléchi, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 190 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont fléchi, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 190 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (- 0,25 €/t).
Les cours des céréales européennes ont légèrement reculé, mardi, alors que les perspectives de récoltes restent bonnes, tout comme les conditions météo.
Les marchés affichent « une certaine déprime en ce début de semaine, toujours dans un contexte de perspectives de récoltes abondantes à venir pour la campagne prochaine », explique Agritel dans une note.
Toutefois, « il semble que l'amélioration des conditions climatiques n'a pas réussi à améliorer la qualité du blé » américain, dont seulement 30 % est jugé dans un état « bon à excellent », souligne Arnaud Saulais (Starsupply Renewables).
Globalement, la seule inquiétude pourrait venir « du temps sec en Russie », estime Edward de Saint-Denis (Plantureux et Associés).
La fin de la sécheresse aux Etats-Unis et la relative détente en Ukraine ont fait nettement reculer le prix des céréales en mai, selon les données compilées par Agritel : - 7 % pour le blé, - 6 % pour le maïs.
Sur le plan commercial, l'Algérie a acheté 700.000 tonnes de blé meunier, probablement à la France, tandis que le Pakistan a fait l'acquisition de 100.000 tonnes de blé, sans doute auprès des pays de la mer Noire.
En France, sur le marché physique, blé et orge reculaient de 1 €/t à la mi-journée, le maïs restant stable.
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mardi 03 juin 2014 - 18h05
Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. Vers 18h00, le contrat blé novembre 2014 valait 190,25 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. Vers 18h00, le contrat blé novembre 2014 valait 190,25 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (- 0,25 €/t).
Le marché européen des céréales a accusé une nouvelle baisse, lundi, apaisé par les bonnes perspectives de récoltes et des prévisions météo rassurantes. « Tous les fondamentaux sont au vert, avec un bon état des semis et des paramètres météo favorables », souligne Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux. Seul point à surveiller, explique-t-il à l'AFP, la parité euro-dollar : « Si la baisse se vérifie, elle pourrait ramener un peu de compétitivité à l'export » sur l'origine française.
En France, l'état d'avancée des cultures reste bon, selon l'observatoire de FranceAgriMer, Céré'Obs : en blé tendre, l'épiaison compte six jours d'avance sur la moyenne et la part des blés dans un « bon à très bon » état reste stable à 75 % ; en orge d'hiver, l'épiaison est finie depuis la semaine passée avec huit jours d'avance sur la moyenne et 71 % des cultures sont jugées dans un état « bon à très bon ». En maïs, les semis sont pratiquement achevés pour une levée atteinte à 96 %, avec un jour d'avance en moyenne. La part des « bons à très bons » maïs atteint 88 %, en baisse comparé à la semaine précédente.
A Chicago, note Agritel, tous les contrats de blé ont achevé la semaine passée en repli « compte tenu de la non-compétitivité de l'origine américaine sur la scène export ». Là encore, les perspectives sont bonnes et pèsent sur les cours : les semis de maïs ont marqué une nouvelle progression, selon le rapport hebdomadaire de l'USDA (le ministère américain de l'agriculture), alors que de nouvelles pluies sont attendues sur la Corn Belt.
Offre et demande agricole (ODA) signale que « le centre météo ukrainien prévoit une récolte de céréales qui pourrait dépasser le niveau de l'année dernière : 63 millions de tonnes » - même si les « analystes locaux sont moins optimistes », nuance le cabinet conseil.
En France, sur le marché physique, le blé et l'orge s'affichaient en recul de 1,50 €/t à la mi-journée, le maïs cédant 1 €/t.
A la fin de la campagne 2014/2015, « nous devrions connaître une nouvelle augmentation des stocks mondiaux de grains, mais son amplitude sera moindre par rapport au bond de cette saison », analyse le site Vigie Matières Premières. « C'est une fois de plus le maïs qui portera cette hausse des réserves mondiales céréalières. Les stocks de blé, eux, stagneront au mieux (..) En blé, le rendement est loin d'être joué aux USA et en Russie. Quant à la logistique, elle tiendra une fois encore toute sa place en 2014/2015. En maïs, le scénario baissier reste la principale hypothèse, mais pas la seule ! Il faudra voir si la météo et le probable El Nino seront favorables à la culture aux USA cet été. Il faudra aussi scruter la facilité de mise à disposition du maïs ukrainien, et l'état de la demande chinoise », signale encore Vigie Matières Premières.
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lundi 02 juin 2014 - 16h20
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat blé novembre 2014 valait 191 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (inchangé).
Les prix des céréales ont peu évolué, vendredi sur Euronext. Vers 17h00, le contrat blé novembre 2014 valait 191 €/t (- 0,50 €/t), le maïs même échéance se négociant 176,50 €/t (inchangé).
« Les conditions climatiques demeurent favorables aux cultures tant aux Etats-Unis que sur l'Europe. La Russie fait toujours exception, avec un stress hydrique qui s'accompagne de températures élevées, notamment sur la région de la Volga », explique Agritel dans une note. Avec le retour des pluies sur les régions productrices de blé aux Etats-Unis, qui souffraient de sécheresse, les prix du blé ont chuté de 12 % sur le mois de mai à la bourse de Chicago, entraînant les cours mondiaux à la baisse, explique le cabinet conseil.
Les exportations hebdomadaires européennes de blé ont rebondi cette semaine, avec plus de 530.000 tonnes, contre seulement 250.000 tonnes la semaine dernière.
L'Algérie a acheté environ 700.000 tonnes de blé, sans doute français, pour livraison en août-septembre, relève Inter-Courtages. Le Japon a commandé près de 100.000 tonnes de blé américain et canadien.
Le Conseil international des céréales (CIC) a revu à la baisse, jeudi, ses estimations de production mondiale de blé pour la récolte 2014/2015, à 694 millions de tonnes (Mt) contre 697 Mt le mois précédent, tablant sur une baisse de la production américaine. En revanche, le CIC relève ses estimations pour le maïs à 955 Mt, grâce à de bonnes perspectives aux Etats-Unis. ...
vendredi 30 mai 2014 - 16h11
Les prix des céréales ont reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 191,75 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176 €/t (- 0,75 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 191,75 €/t (- 1,25 €/t), le maïs même échéance se négociant 176 €/t (- 0,75 €/t).
Les cours des céréales européennes se sont orientés en baisse, mercredi, car les bonnes perspectives de récolte et l'éloignement des inquiétudes concernant l'Ukraine poussent les investisseurs à vendre.
Les dernières notations des cultures aux Etats-Unis, acteur majeur du marché, « sont rassurantes, ce qui explique la baisse d'aujourd'hui », a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.
Plus largement, « les éléments de soutien (des prix, ndlr) qui ont animé les marchés ces dernières semaines ont été relégués aux oubliettes un à un », remarque Agritel dans une note.
Les pluies dans les grandes régions productrices mondiales de blé (Europe et Etats-Unis) sont venues soulager les cultures qui souffraient de sécheresse, et l'Ukraine semble beaucoup moins inquiéter les opérateurs, même si la situation sur le terrain reste tendue. Néanmoins, les premiers échos de récolte de blé en provenance du Texas « font état de mauvais rendements », souligne Damien Vercambre (Inter-courtages).
A l'exportation, les blés français restent « assez chers » par rapport à leurs concurrents, ce qui ralentit les ventes, même si quelques contrats ont été passés avec l'Algérie, principal client de l'Hexagone, souligne par ailleurs M. de Saint-Denis.
Les opérateurs français vont surveiller avec attention les prochaines annonces en provenance d'Egypte, 1er importateur mondial de blé, qui se fournit principalement en mer Noire. Selon Inter-courtages, l'organisme public égyptien chargé des achats de blé, le GASC, va de nouveau revoir son cahier des charges pour les importations, notamment en matière de taux d'humidité. En début d'année, ce taux avait été fixé à 13 % maximum, une condition remplie par seulement 40 % du blé français. Les exportations françaises vers Le Caire en avaient immédiatement pâti.
En France, sur le marché physique, blé et maïs perdaient 1 €/t. ...
mercredi 28 mai 2014 - 17h53
Le prix du maïs a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 176 €/t (- 2,25 €/t), le blé même échéance se négociant 192,50 €/t (- 0,25 €/t).
Le prix du maïs a reculé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 176 €/t (- 2,25 €/t), le blé même échéance se négociant 192,50 €/t (- 0,25 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué mardi sur le marché européen en l'absence de stress majeur sur les cultures de blé et de maïs dont les récoltes s'annoncent en quantités satisfaisantes.
Les prix des deux céréales sont en train de retrouver des niveaux proches de la mi-février/début mars, note Agritel. Les incertitudes en Ukraine semblent avoir été gommées par l'élection du nouveau président, malgré les violents combats dans l'est et le renvoi sine die de toute rencontre avec les autorités russes.
Les conditions climatiques sont rassurantes, aussi bien aux Etats-Unis, où les pluies sont arrivées sur les Etats du sud, qu'en Europe. La situation reste cependant à surveiller sur le bassin mer Noire et en Russie « car les pluies sont désormais nécessaires dans plusieurs régions », estime Agritel.
Damien Vercambre (Inter-Courtage) met en garde contre « un excès de pluie (qui) viendrait perturber le début des récoltes de blé d'hiver au Texas et en Oklahoma » et abaisser la qualité des blés en France. « Pour le moment, la qualité est là », rassure-t-il, mais trop de pluie au moment de la floraison, comme l'an dernier sur la Marne et les Charentes, abaisse la teneur en protéines et fait courir le risque de fusariose et de mycotoxines. ...
mardi 27 mai 2014 - 17h36
Les prix des céréales ont sensiblement reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 192,75 €/t (- 2,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 173,75 €/t (- 2 €/t).
Les prix des céréales ont sensiblement reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 192,75 €/t (- 2,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 173,75 €/t (- 2 €/t).
Les cours européens des céréales ont fléchi, lundi, le bon état des cultures présageant d'une récolte abondante, dans un volume d'affaires ralenti par la fermeture de la bourse de Chicago pour le Memorial Day. « La climatologie est excellente, la situation en Ukraine se stabilise un peu », ce qui explique la baisse des cours, a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis de la société Plantureux et Associés.
En France, 75 % du blé est jugé dans un état « bon à très bon » par FranceAgriMer, en hausse par rapport à la semaine précédente.
A l'international, les analystes rassemblés au salon Global Grain de Chicago la semaine dernière se sont montrés « sceptiques sur les chiffres de l'USDA (ministère américain de l'Agriculture, ndlr) sur les estimations de production aux Etats-Unis », selon Michel Portier, directeur du cabinet Agritel. « Ils pensent que l'USDA surestime systématiquement le potentiel de production du pays. Chaque année qui passe, c'est encore plus criant », a-t-il expliqué à l'AFP.
Pour estimer la production de maïs et de soja, l'USDA se base sur les semis qui ont déjà été faits et sur des estimations de rendements. Mais, pour ces dernières, le ministère utilise « une droite de régression linéaire, comme si ça devait augmenter de manière mathématique ». Or, « même s'il y a du progrès génétique », ces rendements ne peuvent pas augmenter indéfiniment, souligne M. Portier.
Pour le blé, les opérateurs pensent que l'USDA a minimisé les conséquences du froid sur les cultures des quatre grands Etats producteurs (Texas, Kansas, Oklahoma, Arkansas). Le marché du blé pourrait donc être « moins baissier » pour la prochaine récolte que ce que laissent penser les prévisions de l'USDA, selon M. Portier.
Sur la scène commerciale, la Tunisie a acheté 50.000 tonnes de blé et le Kazakhstan s'est engagé à en vendre 100.000 tonnes à la Chine pour la prochaine récolte. L'Indonésie a fait l'acquisition de 125.000 tonnes auprès de pays de la mer Noire.
Sur le marché du maïs, « l'activité reste calme », observe l'AGPM dans sa lettre économique hebdomadaire. « Quelques ventes ont été enregistrées à destination de l'Espagne, mais aussi vers le Royaume-Uni et l'Irlande. A l'approche des récoltes de céréales à paille, les contraintes logistiques devraient se faire ressentir pour pouvoir accueillir la nouvelle moisson. Ces difficultés, associées aux prévisions de production mondiale et à la compétitivité des maïs pays tiers, devraient exercer une pression sur les prix à court terme. »
En France, sur le marché physique, blé et maïs étaient en baisse à la mi-journée. ...
lundi 26 mai 2014 - 17h41
Les prix des céréales ont reculé, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 196,25 €/t (- 1 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 175,50 €/t (- 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, vendredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 196,25 €/t (- 1 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 175,50 €/t (- 0,50 €/t).
Le rythme des exportations de blé par les pays de l'Union européenne a ralenti cette semaine, avec seulement 250.000 tonnes contre 450.000 la semaine passée. Ces chiffres restent bien supérieurs à ceux de l'an passé à la même époque mais reflètent la concurrence des autres exportateurs, notamment de la mer Noire, dont les blés sont moins chers.
« C'est exclusivement une question de prix », estime Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés. « Comme les prix sont revenus à un niveau psychologique plus bas sur le marché à terme, les agriculteurs ne vendent pas, donc les coopératives ne vendent pas », ce qui maintient les prix européens à un niveau trop élevé par rapport à leurs concurrents, a-t-il expliqué à l'AFP.
Cette situation est accentuée par « la dévaluation de la hrivna en Ukraine et du rouble en Russie à cause de la crise ukrainienne (qui) rend les origines mer Noire plus compétitives », estime Michel Portier, directeur du cabinet Agritel, dans un communiqué.
Présent au salon Global Grain de Chicago cette semaine, M. Portier souligne par ailleurs que « les échanges et les discussions entre les participants ont laissé transparaître un scepticisme sur les estimations de l'USDA », le ministère de l'Agriculture américain, pour la prochaine récolte de blé. « Les dégâts de l'hiver froid et du printemps sec sur la zone des Plaines du sud des Etats-Unis n'ont pas suffisamment été pris en compte », selon lui.
En France, sur le marché physique, les prix des céréales restaient stables à la mi-journée.
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vendredi 23 mai 2014 - 17h28