Tendances céréales
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Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 205,50 €/t (- 1,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,75 €/t (- 1,50 €/t).
Les prix des céréales ont reculé, lundi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 205,50 €/t (- 1,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,75 €/t (- 1,50 €/t).
Les cours des céréales européennes se sont orientés en baisse, lundi, en raison de pluies sur les cultures et d'inquiétudes un peu moins vives sur l'Ukraine.
« Le temps pluvieux sur une majeure partie de la France pourrait tirer les prix à la baisse cette semaine, alors que les cultures de blé d'hiver sont notées bonnes à très bonnes à 74 % », souligne Arnaud Saulais de Starsupply Renewables.
En Ukraine, où le regain de tension avait fait monter les prix vendredi, « il n'y a pas eu d'embrasement ce week-end », d'où un calme relatif sur le marché ce lundi, selon Damien Vercambre d'Inter-courtages.
Les conditions climatiques vont probablement continuer à dicter l'évolution des prix dans les jours à venir, avec des situations diverses selon les points du globe. Si l'Europe de l'Ouest a reçu des pluies ces derniers jours, la sécheresse « menace plus que jamais les blés d'hiver américains et les productions russes et kazakhes », souligne Agritel. A l'inverse, des pluies sur les régions productrices de maïs aux Etats-Unis ont retardé les semis ces derniers jours.
L'Ukraine est l'autre élément qui focalise l'attention des investisseurs. « Les marchés affichent une grande nervosité face à la situation » et les nouvelles sanctions contre Moscou qui doivent être décidées dans la journée [de lundi] pourraient « contrarier les exports origine mer Noire pour la prochaine campagne », estime Agritel.
En France, les fabricants d'aliments du bétail « sont toujours demandeurs en maïs sur les mois d'été, d'autant plus que le différentiel maïs/blé est important. L'activité d'exports vers nos voisins européens reste limitée », analyse l'AGPM dans sa note économique hebdomadaire. 
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lundi 28 avril 2014 - 18h07
A l'approche de la clôture vendredi sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 1,25 €/t à 217,25 €/t. Le maïs échéance juin baissait pour sa part de 1,25 €/t à 186,75 €/t.
Les cours européens des céréales étaient rendus volatils vendredi à la mi-journée, par les tensions en Ukraine et les incertitudes météorologiques.
A l'approche de la clôture sur Euronext, le blé échéance mai progressait de 1,25 €/t à 217,25 €/t. Le maïs échéance juin baissait pour sa part de 1,25 €/t à 186,75 €/t.
Les investisseurs « scrutent le ciel avec des pluies toujours largement insuffisantes notamment sur une grande partie de la France et l'ouest de l'Allemagne », souligne le cabinet Agritel dans une note.
Les inquiétudes concernent aussi les régions productrices de blé américaines touchées par la sécheresse.
« Les prévisions pour les prochains jours sont faibles. Quelques pluies sont attendues pour le weekend, mais elles resteront hétérogènes », souligne le cabinet Offre et Demande Agricole.
L'Union européenne a exporté 24,7 millions de tonnes de blé depuis le début de la campagne, contre 16,5 l'an dernier, selon les derniers chiffres publiés par Bruxelles.
Sur le plan commercial, le Maroc a acheté 30.000 tonnes de blé polonais et la Jordanie a lancé un appel d'offres pour 150.000 tonnes de blé meunier.
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vendredi 25 avril 2014 - 18h15
Le prix des céréales a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 204,50 €/t (+ 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 188,25 €/t (+ 2,50 €/t).
Le prix des céréales a progressé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 204,50 €/t (+ 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 188,25 €/t (+ 2,50 €/t).
Les ventes américaines de maïs à l'étranger sont reparties à la hausse au cours de la semaine achevée le 17 avril, grâce à un prix compétitif. Les Etats-Unis ont vendu 618.000 tonnes de maïs issu de la récolte 2013/2014, soit 15 % de plus que la semaine précédente, selon le rapport hebdomadaire du ministère américain de l'Agriculture (USDA). Ce chiffre se situe dans la fourchette haute des attentes du marché. Les chargements sur cargo grimpent de 55 % à 1,6 million de tonnes, à destination du Japon, de la Colombie et de l'Egypte notamment.
« Exporter plus d'un million de tonnes par semaine, c'est un fait notable. Ce rythme pourrait leur permettre de conforter, voire de dépasser les objectifs de l'USDA (...) et conforte la bonne tenue des cours », estime Sébastien Poncelet, analyste spécialiste des marchés agricoles du cabinet Agritel. Pour 2014/2015, les ventes de maïs sont même largement supérieures aux attentes du marché, à près de 383.000 tonnes. Outre sa compétitivité, le maïs américain profite aussi du tarissement du stock ukrainien. « Conflit ou pas conflit, l'Ukraine n'a plus beaucoup à exporter », estime M. Poncelet.
A l'international, le Japon a acheté 108.000 tonnes de blé aux Etats-Unis, Canada et Australie.
Au Maroc, l'un des principaux importateurs de blé et client de la France, le ministère de l'Agriculture projette une production de céréales en forte baisse pour 2014/2015, à 6,7 millions de tonnes (Mt) contre 9,7 Mt l'année précédente. Pour le blé, la production n'atteindrait que 3,7 Mt, contre 5,2 Mt l'an passé. ...
jeudi 24 avril 2014 - 18h11
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 202,75 €/t (- 0,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,25 €/t (+ 0,50 €/t).
Les prix des céréales ont peu évolué, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat blé novembre 2014 valait 202,75 €/t (- 0,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,25 €/t (+ 0,50 €/t).
Les cours européens des céréales ont d'abord cédé du terrain, mercredi en séance, dans un marché dominé depuis le début de la semaine par les questions météo, avec le retour de la pluie aux Etats-Unis et sur une partie de l'Europe.
En France, la pluie prévue pour la fin de la semaine sera « scrutée par l'ensemble des opérateurs qui s'accordent sur le besoin urgent d'eau pour les cultures les plus délicates », les précipitations du début de semaine ayant été trop faibles pour faire une réelle différence, explique Agritel dans une note.
En Ukraine, grâce aux pluies des deux dernières semaines, « les conditions des cultures sont plutôt bonnes pour le moment, à l'exception de l'extrême sud », précise Agritel. Néanmoins, ces précipitations n'ont pas permis de combler le déficit hydrique des six derniers mois, en Ukraine comme dans le sud de la Russie.
Un règlement européen, publié au Journal officiel de l'UE, entérine la réduction ou l'élimination des droits de douane sur les marchandises originaires d'Ukraine, en particulier les céréales et les grains.
Sur le plan commercial, les Etats-Unis ont vendu 240.000 tonnes de maïs au Mexique pour la campagne 2014/2015, tandis que la Corée du Sud achetait 60.000 tonnes de maïs sur le continent américain, sans que l'on sache s'il s'agit du Nord ou du Sud.
Stratégie grains anticipe une récolte européenne de maïs de 65,1 millions de tonnes (Mt) en 2014, en hausse de 0,7 Mt par rapport à 2013, rapporte l'AGPM dans sa note économique hebdomadaire.
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mercredi 23 avril 2014 - 18h11
Le prix du blé a plongé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 202,75 €/t (- 4,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,75 €/t (- 2,25 €/t).
Le prix du blé a plongé, mardi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 202,75 €/t (- 4,50 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 185,75 €/t (- 2,25 €/t).
Les cours des céréales européennes se sont orientés en nette baisse, mardi, après des pluies aux Etats-Unis qui améliorent les perspectives pour le blé, faisant baisser les prix à la bourse de Chicago.
« On est en plein weather market, les conditions climatiques s'améliorent » et l'état des cultures américaines est « moins dégradé que prévu » après des semaines de sécheresse dans les régions productrices de céréales, a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société de courtage Plantureux et Associés.
Néanmoins, la proportion de blés notés « de mauvais à très mauvais » par le ministère de l'Agriculture américain passe à 33 %, contre 1 % la semaine précédente, relève Damien Vercambre, de la société Inter-Courtage.
En France et sur une grande partie de l'Europe, « les conditions climatiques demeurent adverses avec un déficit hydrique qui perdure, ce malgré quelques précipitations ou orages locaux », souligne Agritel dans une note.
Dans la région de la mer Noire, Agritel a constaté un « ralentissement de l'activité à l'export » la semaine passée. En Ukraine, les chargements de maïs ont reculé à 176.000 tonnes, contre 450.000 tonnes la semaine précédente. Une baisse compensée par des chargements en blé plus importants. La Russie a, elle aussi, moins de maïs à exporter avec seulement 13.000 tonnes exportées contre 92.000 la semaine précédente.
En France, sur le marché physique, le blé perdait 4 €/t à la mi-journée, le maïs 3 €/t.
Les prix des transports maritimes de matières premières ont baissé la semaine dernière. Indice phare du marché, le Baltic Dry Index (BDI) a fini, jeudi 17 avril, à 930 points, son niveau le plus bas en dix mois, contre 1.002 points le vendredi précédent. De son côté, le Baltic Panamax Index (BPI), qui synthétise les tarifs pour quatre routes (la plupart pour les céréales), a terminé jeudi à 812 points (après être tombé mardi à 777 points, son niveau le plus faible depuis juin 2013), contre 782 points le vendredi précédent. ...
mardi 22 avril 2014 - 18h22
Le prix du maïs a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat août 2014 valait 187 €/t (- 2,50 €/t), le blé novembre 2014 se négociant 206,75 €/t (- 0,50 €/t).
Le prix du maïs a reculé, jeudi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat août 2014 valait 187 €/t (- 2,50 €/t), le blé novembre 2014 se négociant 206,75 €/t (- 0,50 €/t).
Le marché des céréales européennes était à la consolidation jeudi, avant sa longue fermeture de vendredi à mardi matin pour cause de week-end pascal.
La tendance est à la « sécurisation avant le long week-end », explique Agritel. De plus, « en nouvelle campagne, l'annonce de quelques pluies aux USA, en Europe de l'Ouest et en Ukraine calme le jeu sans pour autant engendrer de trop forts replis des cours. En maïs, la perspective d'un temps plus favorable aux semis sur la Corn Belt la semaine prochaine pesait sur les cours à Chicago », toujours selon Agritel.
Au vu des certificats d'exportation sur la semaine achevée mardi, les exportations de blé européen ralentissent, et celles de maïs stagnent tandis que les importations rebondissent, relève Damien Vercambre, courtier chez Inter-Courtage. « L'origine européenne manque de compétitivité sur la fin de campagne face aux blés mer Noire », commente Agritel.
En France, sur le marché physique, les prix des céréales étaient en baisse de 2 €/t à la mi-journée. ...
jeudi 17 avril 2014 - 17h38
Le prix du blé a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 207,75 €/t (- 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 189,50 €/t (+ 0,25 €/t).
Le prix du blé a reculé, mercredi sur Euronext. A l'approche de la clôture, le contrat novembre 2014 valait 207,75 €/t (- 2 €/t), le maïs juin 2014 se négociant 189,50 €/t (+ 0,25 €/t).
Les cours des céréales européennes sont restés assez stables, mercredi, soutenus par les inquiétudes sur l'Ukraine, malgré un recul du blé pour des raisons techniques.
La baisse du blé est « technique », liée à la revente d'options sur le mois de mai, a expliqué à l'AFP Edward de Saint-Denis, de la société Plantureux et Associés. Mais globalement, le marché à terme « se maintient à cause des bruits de botte en Ukraine », a-t-il souligné.
Autre élément de soutien des cours mondiaux du blé : le retour de températures négatives sur les plaines américaines où est cultivée la céréale, « même si le risque de gel apparaît pour l'instant limité », explique Agritel dans une note. En revanche, sur le maïs, « des premiers dégâts de gel » ont été observés au sud de la Corn Belt (zone principale de culture).
En Ukraine, il pleut sur une grande partie du pays depuis le début de la semaine, « ce qui devrait satisfaire l'ensemble des producteurs » touchés par la sécheresse depuis plusieurs mois, relève encore Agritel.
La Jordanie a acheté 150.000 tonnes de blé, probablement à la Roumanie. L'Algérie, 1er consommateur mondial de pain, teste actuellement « une nouvelle farine mixée avec de la semoule, qui permettrait de réduire les importations algériennes de blé tendre », rapporte Damien Vercambre (Inter-Courtage). L'Algérie est l'un des principaux débouchés pour le blé français.
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mercredi 16 avril 2014 - 18h27
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